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XL. On connaît aujourd'hui cette façade sous le nom du Serpent, et, en effet, un serpent immense, formant des entrelacs, mais dont la tête et la queue ont été préservées de la ruine, fait avec les éternelles grosses têtes, tous les frais de la décoration de cette façade. Ces deux derniers, dit M. l'abbé Brasseur de Bourbourg, paraissent commander; les deux premiers agissent.

C'est pourquoi les dispositions géométriques, les entrelacs y trouveront fréquemment leur place.

Mais ici il se présente un fait singulier. Nous possédons en France des manuscrits qui appartiennent au XIIe siècle, et qui montrent dans leurs vignettes ces entrelacs bizarres d'animaux et d'ornements. Des manuscrits dits anglo-saxons, mais qui devraient bien plutôt être désignés comme anglo-normands, puisque leurs vignettes sont profondément empreintes de l'art Scandinave, montrent des compositions analogues et datent également du XIIe siècle. Or, parmi les manuscrits russes, il s'en trouve qui rappellent aussi ces compositions, mais qui datent du XIVe siècle. Est-ce par la Scandinavie que cette nouvelle influence s'est produite, ou en allant quérir

Son bonnet ou aumusse en velours noir, qui ne couvrait que le sommet de la tête et laissait descendre sur le cou la chevelure relevée en bourrelet ou façonnée en rouleau, offrait un signe plus caractéristique: c'était le bâton noueux, emblème choisi par le feu duc d'Orléans, et accompagné de sa devise: Je l'envie; le tout exécuté en broderie d'or et d'argent avec des entrelacs de perles.

On voit sur la face du bâtiment du Cirque, pl. XXXIV, au-dessous de l'assise des entrelacs inférieurs, cinq trous circulaires. Ces trous, que nous retrouverons plus apparents encore dans d'autres monuments du Mexique, paraissent avoir été réservés pour recevoir des boulins ou grosses perches de bois, auxquelles étaient attachées des bannes, afin de former autour de l'édifice un portique couvert d'étoffes ou de nattes. Mais une des salles intérieures du Cirque nous fournit un ample sujet d'observations. Cette salle, pl. XXXIII, donne en coupe transversale la section fig. 2. Les parements (mal appareillés, comme ceux de l'extérieur) sont entièrement revêtus d'une série de sculptures plates, représentant des hommes armés combattant des serpents et des tigres. Si la signification de ce bas-relief est obscure, les types des têtes, les costumes, les armes des personnages, donnent de précieux renseignements. On remarque tout d'abord que les traits de la plupart de ces personnages ne rappellent nullement les profils des figures de Palenqué, ou ceux que l'on prête aux races indigènes du Mexique si souvent reproduits par des terres cuites recueillies en grand nombre dans ces contrées. Ainsi, fig. 3, nous donnons une copie fidèle de ces terres cuites que M. Charnay a bien voulu déposer entre nos mains, et fig. 3 bis, une tête d'un indigène, copiée par une photographie. Il est clair que ces deux types appartiennent

Quelques femmes, descendues des traîneaux et appuyées aux bras de leurs cavaliers servants, brillaient au premier rang et suivaient d'un œil inquiet, comme on ferait chez nous les péripéties d'un steeple-chase, les passes et les voltiges de cinq ou six virtuoses qui, dans leurs jeux, décrivaient mille courbes, dessinaient des arabesques, brodaient des festons, inventaient des figures, et, au milieu de leurs entrelacs sans fin, traçaient rapidement des chiffres mystérieux, plus rapidement effacés. Un jeune officier aux gardes, rose et blond comme un chérubin, attirait particulièrement l'attention des belles promeneuses. Rien n'égalait la souplesse et la force de ses muscles d'acier: il glissait

Il respire largement, bruyamment, et, comme un voyageur revenu d'un long voyage, il contemple avec une joie profonde et nouvelle le ciel, les pelouses nues du jardin, les entrelacs violacés que font les branches d'arbres sur la lumière, sa petite maison. Cette joie, désobligeante pour la mémoire de Rose, me paraît maintenant très comique.

Nous n'avons pas besoin de faire ressortir les rapports qui existent entre ces deux ornements. Les formes courbes toutefois dominent dans les entrelacs de la figure 26, tandis que les formes anguleuses sont prononcées dans les entrelacs de la figure 27.

Nous tournâmes autour du grand parterre d'églantiers qui est derrière le musée de peinture moderne. Des bourgeons frais et luisants pointaient sur les tigelles menues, et tous ces entrelacs épineux avaient perdu la rigidité de l'hiver et semblaient se tendre, se gonfler comme si de petits muscles étaient poussés. Mais tout cela était clos, se recueillait encore, avait l'air d'attendre.

L'escalier de vieille pierre usée, large, doux au pas, se développait entre une muraille peinte en faux marbre et une rampe basse, dont la ferronnerie alerte étirait des entrelacs élégants comme une signature de poète. Mais, au troisième étage, il cessa pour faire place