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Mis à jour: 9 mai 2025
[Note 81: On trouvera peut-être un peu leste cette manière de faire la guerre; mais qu'on veuille se rappeler les surprises et les massacres sans nombre dont les Iroquois désolèrent la Nouvelle-France durant tout le premier siècle qui suivit l'établissement de la colonie, et l'on avouera que, tout en étant pénibles, ces représailles étaient alors nécessaires. A ces barbares qui brûlaient de sang-froid leurs missionnaires, et qui inventaient chaque jour de nouveaux supplices pour tourmenter leurs prisonniers, il fallut finir par opposer la violence. Chacun sait, du reste,
Quelques femmes, descendues des traîneaux et appuyées aux bras de leurs cavaliers servants, brillaient au premier rang et suivaient d'un œil inquiet, comme on ferait chez nous les péripéties d'un steeple-chase, les passes et les voltiges de cinq ou six virtuoses qui, dans leurs jeux, décrivaient mille courbes, dessinaient des arabesques, brodaient des festons, inventaient des figures, et, au milieu de leurs entrelacs sans fin, traçaient rapidement des chiffres mystérieux, plus rapidement effacés. Un jeune officier aux gardes, rose et blond comme un chérubin, attirait particulièrement l'attention des belles promeneuses. Rien n'égalait la souplesse et la force de ses muscles d'acier: il glissait
Les factieux inventaient chaque jour de nouveaux moyens de soulever le peuple. Chabot, Basire et Merlin, membres du comité de surveillance, imaginèrent la fable d'un comité autrichien existant aux Tuileries, lequel contrariait les dispositions des ministres, était la cause de nos désastres et n'avait pour but que le bouleversement de la France et le rétablissement du despotisme. Ils donnèrent cette fable
Les courbes de son flanc ou de sa nuque, dont il semble qu'elles aient obéi au pouce d'un potier sans reproche, la délicatesse de ses mains, et son front orgueilleusement recourbé, comme aussi ces caresses singulières qui inventaient une volupté plus vive au milieu même de la volupté, se peuvent découvrir en d'autres personnes.
Lorsque Pausanias parcourut la Grèce, au temps d'Adrien, les prêtres de chaque ville lui racontèrent les vieilles histoires locales; ils ne les inventaient pas; ils les avaient apprises dans leurs annales.
Autrefois les Babini, les Marchesi, les Pacchiarotti, inventaient les ornements compliqués, surtout ils appliquaient, suivant l'inspiration de leur talent et de leur âme, les ornements les plus simples, tels que les appoggiature, le grupetti, les mordenti, etc.; toute la parure du chant (i vezzi melodici del canto), comme disait Pacchiarotti (Padoue, 1816), appartenait de droit au chanteur. Crescentini donnait
Un jour, la goëlette de guerre en question était tombée dans une anse sur une flottille de bateaux de pêche terre-neuviens installés chez nous. Vainement elle avait tenté de les expulser au nom des traités. Les délinquants auxquels les proportions de la goëlette n'en imposaient pas, inventaient mille mauvais prétextes pour ne point partir. Si bien que le commandant de la Canadienne
Au surplus, les émigrés qui discutaient ces questions ne savaient encore rien des dispositions des cours alliées, des plans du duc de Brunswick, commandant en chef des forces de la coalition. Mais ils s'en entretenaient comme s'ils les eussent connus, attribuant au généralissime ceux qu'ils inventaient eux-mêmes. Une ombre, cependant, passait sur leur joie. Ils redoutaient le démembrement de la France. Ils se disaient tout bas que l'Alsace deviendrait territoire impérial; que la Lorraine serait annexée au Luxembourg, les Pays-Bas français aux Pays-Bas autrichiens, que la Corse serait offerte
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