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Mis à jour: 31 mai 2025


« Jean Tissut, Claude Joannard, Annet Bouvant, Pierre-Charles Latreille, Antoine Charnay fils, Jean Valeurot, Louis Magnin, Guillard, dit Casaud, ont été condamnés

Mme de Montgeroult, comtesse de Charnay, née Hélène de Nervode, appartenait

Des trois capitales de l'Australie, Sydney est l'aînée, Melbourne est la puînée, Adélaïde est la cadette. En vérité, si la dernière est la plus jeune, on peut affirmer qu'elle est aussi la plus jolie. Elle est née en 1853, d'une mère, l'Australie méridionale qui n'a d'existence politique que depuis 1837, et dont l'indépendance, officiellement reconnue, ne date que de 1856. Il est même probable que la jeunesse d'Adélaïde se prolongera indéfiniment sous un climat sans rival, le plus salubre du continent, au milieu de ces territoires que n'attristent ni la phtisie, ni les fièvres endémiques, ni aucun genre d'épidémie contagieuse. On y meurt quelquefois, cependant; mais, comme le fait spirituellement observer M. D. Charnay, «ce pourrait bien être une exception». Si le sol de l'Australie méridionale diffère de celui de la province voisine en ce qu'il ne renferme pas de gisements aurifères, il est riche en minerai de cuivre. Les mines de Capunda, de Burra-Burra, de Wallaroo et de Munta, découvertes depuis une quarantaine d'années, après avoir attiré les émigrants par milliers, ont fait la fortune de la province. Adélaïde ne s'élève pas sur la limite littorale du golfe de Saint-Vincent. De même que Melbourne, elle est située

Mais la partie la plus curieuse de cet édifice est peut-être la salle donnant sur cette cour et dont M. Charnay a pu faire la photographie, pl. IX. Cette salle est entièrement tapissée au moyen de cet appareil de petites pierres en forme de briques composant des dessins de méandres très-variés. Comme la grande salle, cette pièce était couverte par un solivage en bois et ne recevait de jour que par la porte. C'était l

«Elles n'étaient pas mieux destinées pour les insurgés de Charnay et des communes voisines, car la route qui y conduit est celle de Vaise, sur la rive droite de la Saône, et Saint-Dubois, qui s'en serait fort éloigné en suivant celle de Serin, qui est sur la rive gauche de la Saône, avait dépassé le dernier pont qui y conduit, lorsqu'il fut saisi.

On voit sur la face du bâtiment du Cirque, pl. XXXIV, au-dessous de l'assise des entrelacs inférieurs, cinq trous circulaires. Ces trous, que nous retrouverons plus apparents encore dans d'autres monuments du Mexique, paraissent avoir été réservés pour recevoir des boulins ou grosses perches de bois, auxquelles étaient attachées des bannes, afin de former autour de l'édifice un portique couvert d'étoffes ou de nattes. Mais une des salles intérieures du Cirque nous fournit un ample sujet d'observations. Cette salle, pl. XXXIII, donne en coupe transversale la section fig. 2. Les parements (mal appareillés, comme ceux de l'extérieur) sont entièrement revêtus d'une série de sculptures plates, représentant des hommes armés combattant des serpents et des tigres. Si la signification de ce bas-relief est obscure, les types des têtes, les costumes, les armes des personnages, donnent de précieux renseignements. On remarque tout d'abord que les traits de la plupart de ces personnages ne rappellent nullement les profils des figures de Palenqué, ou ceux que l'on prête aux races indigènes du Mexique si souvent reproduits par des terres cuites recueillies en grand nombre dans ces contrées. Ainsi, fig. 3, nous donnons une copie fidèle de ces terres cuites que M. Charnay a bien voulu déposer entre nos mains, et fig. 3 bis, une tête d'un indigène, copiée par une photographie. Il est clair que ces deux types appartiennent

À ces vingt-cinq planches, si complètes d'ailleurs, se borne la collection des monuments du plateau de Yucatan recueillis par M. Charnay. Elles suffisent, et au del

Le Livre sacré, dont l'importance historique s'accroît en analysant les planches de M. Charnay, nous fournit, au sujet de ces masses d'armes, un renseignement curieux. Quatre tribus quichées sont retranchées sur le mont Hacavitz, personnifiées en Balam-Quitzé, Balam-Agab, Mahucutah et Iqi-Balam. Les populations de la plaine se réunissent pour les attaquer; mais celles-ci, arrivées au pied de la montagne avant la nuit, font halte et s'endorment . «Tous ensemble donc ils firent halte dans la route; et, sans qu'ils s'en aperçussent, tous finirent par s'endormir; après quoi on commença (les quatre personnages quichés)

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