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On peut juger de l'effet que fit une scène si touchante sur un coeur comme le sien, et sur une aussi noble assemblée: il insistait néanmoins encore sur la nécessité de punir sévèrement une action si barbare. Mais enfin, n'espérant plus obtenir le consentement de ses barons, ne croyant pas devoir mépriser les sollicitations des grands de son état, content d'ailleurs de leur soumission, touché de celle d'un homme de la première qualité, qui, après tout, n'était convaincu que par une procédure extraordinaire dans le royaume, il laisse tomber un regard sur lui. Enguerrand, lui dit-il d'un ton de maître, si je savois certainement que Dieu m'ordonnât de vous faire mourir, toute la France et votre parenté ne vous sauveraient pas. Ces paroles, mêlées tout

Enguerrand de Coucy, ayant fait pendre trois jeunes gens qui chassaient dans ses bois, le roi le fit prendre et juger; tous les grands vassaux réclamèrent et appuyèrent la demande qu'il faisait du combat.

Enguerrand de Coucy, ayant fait pendre trois jeunes gens qui chassaient dans ses bois, le roi le fit prendre et juger; tous les grands vassaux réclamèrent et appuyèrent la demande qu'il faisait du combat.

«Je suis trop accablé de douleur pour pouvoir entrer dans de plus longs détails. Nous nous disposons pour retourner en France avec les restes précieux de la meilleure des mères et des amies. Enguerrand reposera entre ses deux mères.

[Note 87: C'est toujours la romance de Cazotte, dont le troisième couplet commence ainsi: Sire Enguerrand venant d'Espagne, Passant par l

Rue des Poulies et place du Louvre. Dans cette rue, aujourd'hui presque entièrement reconstruite, était l'hôtel d'Alençon, bâti en 1250 par Alphonse, comte de Poitiers, frère de saint Louis, et qui fut possédé par le comte d'Alençon, fils de ce même roi. Après lui, il eut pour possesseurs Enguerrand de Marigny, Charles de Valois, le marquis de Villeroy, Henri III, le duc de Retz, la duchesse de Longueville. C'est l

Tu sauras, Ninon, qu'il y avait autrefois, sur le haut d'une montagne, un vieux château sombre et lugubre. Ce n'étaient que tourelles, que remparts, que ponts-levis chargés de chaînes; des hommes couverts de fer veillaient nuit et jour sur les créneaux, et seuls les soldats trouvaient bon accueil auprès du comte Enguerrand, le seigneur du manoir.

Enfin, ce fut encore un élève de Jean de Ravenne et d'Emmanuel Chrysoloras, que ce Leonardo Bruni, l'un de ceux qui illustrèrent le nom d'Arétin, ou de citoyen d'Arezzo, nom qu'un homme qui ne les valait pas, malgré tout le bruit qu'il a fait, porta dans la suite, sous lequel il est seul connu en France, et qu'il a presque déshonore. Leonardo naquit en 1369 ; il n'avait que quinze ans lorsque les troupes françaises, conduites par Enguerrand de Coucy, et réunies aux bannis d'Arezzo, entrèrent dans cette ville, et la remplirent de trouble et de carnage. Son père fut emmené prisonnier dans un château , et lui dans un autre . Dans la chambre il fut enfermé se trouvait un portrait de Pétrarque. Il y tenait les yeux sans cesse attachés, et cette espèce de contemplation l'enflamma du désir d'imiter ce grand homme. Lorsqu'il fut mis en liberté, il se rendit

Cette fermeté fit trembler pour le malheureux Enguerrand; personne n'osa répliquer: on ne s'occupa plus que du soin de fléchir son juge par toutes sortes de soumissions.

Quant au comte Enguerrand, il se consola, dit-on, en contant chaque soir comme quoi le géant Buch Tête-de-Fer fut occis par un terrible coup de Giralda la lourde épée. Et maintenant, Ninon, lorsque nous gagnerons la campagne, nous chercherons les marjolaines enchantées pour leur demander dans quelle fleur se trouve la fée Amoureuse. Peut-être, mon amie, une morale se cache-t-elle sous ce conte.