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Division des partis sur la question de la guerre. Rôle du duc d'Orléans et de son parti. Les princes émigrés sont décrétés d'accusation. Formation d'un ministère girondin. Dumouriez, son caractère, son génie, ses projets; détails sur les nouveaux ministres. Entretien de Dumouriez avec la reine. Déclaration de guerre au roi de Hongrie et de Bohême. Premières opérations militaires.

Alors on les désigne: c'est Rhul, Romme et Duroi, qui ont demandé du silence pour faire ouvrir la délibération; c'est Albitte, qui a fait nommer un bureau; c'est Goujon et Duquesnoy, qui ont demandé la suspension des comités, et la formation d'une commission extraordinaire de quatre membres; c'est Bourbotte et Prieur (de la Marne), qui ont accepté, avec Duroi et Duquesnoy, d'être les membres de cette commission; c'est Soubrany, que les rebelles ont nommé commandant de l'armée parisienne; c'est Peyssard, qui a crié victoire pendant l'action. Duroi, Goujon, veulent parler: on les en empêche, on les traite d'assassins, on les décrète sur-le-champ, et on demande qu'ils ne puissent pas s'enfuir, comme la plupart de ceux qui ont été décrétés le 12 germinal. Le président les fait entourer par la gendarmerie, et conduire

Elle écouta avec plus de complaisance la motion de plusieurs membres de l'Assemblée, dont les uns demandaient une amnistie pour les déserteurs, ainsi que la faculté de reprendre leurs rangs dans les régiments; et les autres, l'élargissement des détenus pour cause d'insubordination militaire. On peut juger de l'esprit qui régnait dans l'Assemblée, quand de pareilles pétitions, loin d'être rejetées avec indignation, étaient envoyées au comité des rapports. Celle des incendiaires des barrières de Paris, en 1789, eut encore plus de succès. Décrétés de prise de corps par la cour des aides, ils implorèrent la clémence de l'Assemblée. Muguet de Nautou, rapporteur, conclut

Voir nos articles Une candidature de Fabre d'Eglantine, Fabre d'Eglantine fournisseur aux armées, Fabre d'Eglantine et les femmes, etc. IV, et 1914, t. Le 27 frimaire, Fabre d'Eglantine avait dénoncé Maillard, Vincent et Ronsin, qui furent décrétés d'arrestation. Le 14 pluviôse, 2 février 1794, Voulland, au nom du Comité de Sûreté générale, proposa de remettre en liberté Ronsin et Vincent.

On ajoutait bien, pour excuser cette destruction peu patriotique, que le monument n'était pas digne de ceux qu'il devait honorer et qu'on l'élèverait plus tard, avec des matériaux plus choisis, sur une des places de la cité . Mais ce fut un des innombrables monuments, pompeusement décrétés par les autorités de l'époque révolutionnaire, qui ne virent jamais le jour.

Du territoire, la proclamation par laquelle ces grands changemens étaient décrétés, passa aux lois; et le roi, de sa propre autorité, tout en déclarant qu'il serait convoqué des assemblées des représentans du peuple aussitôt que les circonstances le permettraient, abolit d'un seul coup toutes les anciennes lois civiles si sages, si précises, si claires, pour y substituer celles de sa métropole, amas confus, vague et incohérent d'actes parlementaires et de décisions judiciaires enveloppées dans des formes compliquées et barbares dont l'administration de la justice n'a pu encore se débarrasser en Angleterre, malgré les efforts de ses plus grands jurisconsultes; et cette abolition était faite pour assurer la protection et le bénéfice des lois du royaume

Incarcérés d'abord au palais du Luxembourg, Vergniaud et ses amis furent répartis entre les prisons ordinaires, après que la Convention les eut décrétés d'accusation, le 28 juillet 1793. Vergniaud fut transféré

Le 9 thermidor, dans l'après-midi. Robespierre, son frère, et ceux de ses collègues du Comité de Salut public qui avaient pris parti pour lui étaient décrétés d'arrestation par la Convention nationale et mis hors la loi. Le lendemain, après des tragiques péripéties qui appartiennent

Un grand nombre d'anciens membres du gouvernement révolutionnaire et de montagnards sont décrétés d'arrestation après le 1er prairial. VII, 228-233 et suiv. Procès de plusieurs d'entre eux. Quelques-uns se tuent dans la prison. Supplice des autres. 237 et suiv.

C'en est fait, Maximilien et son frère, Couthon, Saint-Just et Le Bas sont décrétés d'accusation. A la barre,