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Mis à jour: 12 juillet 2025
Il y a un siècle, bien qu'affaiblie par le traité d'Utrecht, la France possédait la suprématie comme puissance continentale et coloniale. Elle possédait presque toutes les Antilles; ses colonies d'Acadie, du Canada, de la Louisiane s'étendaient de jour en jour; indépendamment de Québec et de Montréal, de Mobile et de la Nouvelle-Orléans, de nouvelles villes se fondaient, des forts étaient construits sur le Mississipi, sur les lacs et les rivières du Canada. En Afrique, elle possédait le Sénégal et Gorée; elle colonisait Madagascar; les îles de France, Bourbon, Sainte-Marie, Rodrigue, lui appartenaient; enfin, elle dominait dans l'Inde, sous le commandement de Dumas, de La Bourdonnaye, de Dupleix; elle y acquérait de vastes territoires, et les rajahs étaient ses vassaux. A cette époque, l'Angleterre posait
À de certaines heures de sa vie, Dupleix vous aurait lancé ce Godeheu par la fenêtre comme on descend une botte de foin du grenier; c'eût été facile, et je suppose que ce Godeheu lui-même eût été plus contrarié que surpris d'une pareille exécution. Mais Dupleix, qui avait terrassé le grand Myrza-Jung et pris au collet Mahé de la Bourdonnais, recula devant ce Godeheu.
Prises françaises absolum. authentiq. en gros, grand dépôt, 37, r. Dupleix. S'adresser pour toutes commandes, 28, rue du Sec-Arembault. Tailleur
Il arriva que Dupleix, au fond de sa retraite, fut repris, un jour, d'espérances ambitieuses. Il partit du Cloître comme on s'enfuit, avec un vieux valet indien qu'il avait, et les trois femmes dévouées
Plus belle était cette veuve d'un vivant, celle que Dupleix appelait Jeannette et que l'immensité de la mer séparait du généreux soldat
Madeleine avait entendu dicter deux fois, une fois pour le roi, une fois pour le ministre, l'épopée de la guerre indienne, les fatales dissensions soulevées entre le gouverneur de Bourbon, le malheureux Mahé de la Bourdonnais et Dupleix, son rival un instant vainqueur, les mauvais vouloirs, les tracasseries, les petitesses, les infamies, on peut le dire, accumulées par les employés de la Compagnie et les agents du gouvernement sur les pas de ce pauvre vaillant lutteur qui défendait la France contre les Français, bien plus encore que contre l'étranger, et qui, abandonné systématiquement par ceux de son propre pays, se créait des ressources parmi les Indiens eux-mêmes, et improvisait, et faisait sortir de terre, en quelque sorte, des soldats sauvages combattant pour la France malgré la France, battant les Anglais, qui étaient soutenus par le mauvais vouloir inouï des Français, et conquérant un monde, lui tout seul, avec sa femme et son gendre, en dépit de ceux-l
Dis... dis vite! j'aime mieux ne recevoir qu'un coup. Celles dont je connais le contenu, répliqua encore la jeune fille, ne sont ni bonnes ni mauvaises. Il y en a donc que ma femme n'a pas ouvertes? Il y en a deux, oui. Pourquoi? Parce qu'elles portent toutes les deux sur l'enveloppe la même mention: confidentiel. Je n'ai rien de caché pour Jeanne, balbutia Dupleix, et Jeanne le sait bien...
«J'ai voulu établir devant vous, Monseigneur, disait Dupleix en achevant l'exposé de son procès, ce fait: que j'ai payé mon dévouement par la perte de ma fortune et qu'on cherche
Si fait, M. le duc, dit Nicolas qui s'était docilement assis, mais qui semblait être en vérité sur un paquet d'épines. Donnez! Nicolas donna. M. le duc prit le mémoire, et sa «bouche en coeur», dont M. de Richelieu, son ennemi par les femmes, se moquait si plaisamment, eut un sourire imprégné de mansuétude, pendant qu'il demandait: N'a-t-il pas une nièce?... j'entends ce brave M. Dupleix.
Et la seconde lettre? interrompit celui-ci. La lettre d'Angleterre? s'écria Dupleix. Voil
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