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Mis à jour: 17 juillet 2025
Le père de George Sand, Maurice Dupin nous laisse l'impression d'un assez mauvais sujet. Est-ce la faute de l'éducation qu'il reçut ou des commotions politiques et sociales? Du moins il manquait d'équilibre, peut-être même de bon sens, et l'Histoire de ma Vie essaie en vain de colorer avantageusement ses défauts: «Ce père que j'ai
La troisième séance fut témoin d'un scandale jusqu'alors inouï dans nos assemblées nationales. Le même membre [M. Dupin] exposa que le serment
Il fallut pourtant quitter l'ami Pierret. Madame Maurice Dupin, depuis longtemps éloignée de son mari et un peu jalouse, voulut le rejoindre
Madame Dupin n'était pas faite pour égayer cette solitude et dissiper la mélancolie de sa petite-fille. Elle luttait contre la surdité, la somnolence, la lassitude intellectuelle. «Aux repas, dit George Sand, elle se montrait avec un peu de rouge sur les joues, des diamants aux oreilles, la taille toujours droite et gracieuse dans sa douillette pensée;» puis, cet effort accompli, elle se retirait dans son boudoir, persiennes closes. Pour la distraire, on jouait la comédie comme au couvent: c'était le passe-temps favori d'Aurore. Les représentations ne devaient pas se prolonger trop avant dans la soirée; vers dix heures, on procédait au coucher de madame Dupin, et cette importante opération durait souvent jusqu'
Ma principale préoccupation en entrant au ministère de l'intérieur. Voyage et embarquement de Charles X. Composition et incohérence du cabinet du 11 août 1830. Ses divers éléments. MM. Laffitte, Dupont de l'Eure, maréchal Gérard et Bignon. MM. Casimir Périer, duc de Broglie, baron Louis, comte Molé, général Sébastiani, Dupin et moi. Attitude du Roi dans ce Conseil. Vastes attributions et mauvaise organisation du ministère de l'intérieur. Mes travaux. L'Opposition m'accuse de ne rien faire. Mon Exposé de l'état du royaume en septembre 1830. Mes relations avec les préfets. Mes relations avec M. de La Fayette au sujet des gardes nationales. Mon administration dans ses rapports avec les lettres, les sciences et les arts. Ma participation aux affaires extérieures. L'Europe veut le maintien de la paix. Dispositions de l'Angleterre, de la Russie et de l'empereur Nicolas, de l'Autriche et de la Prusse. Le parti révolutionnaire en France méconnaît complètement cette situation européenne. Le roi Louis-Philippe la comprend et en profite Sentiment de la France
Caisses d'épargne. M. Charles Dupin a communiqué ses recherches sur le développement de la Caisse d'épargne de Paris, et leur influence sur la population parisienne. Bien qu'au nombre des optimistes assez disposés
Dimanche 13 juin. Le soir, après dîner, dans le jardinet de Charles Edmond, sur la petite terrasse contre la ruelle menant aux champs, Saint-Victor et nous, nous évoquons le passé, remontant aux Grecs et aux Latins, faisant de nos souvenirs de classe, jaillir les étincelles et les rapprochements, appréciant et commentant le latin de Tacite, le latin de Cicéron, le latin de M. Dupin. Puis la conversation s'élevant peu
Soit qu'on s'y attendît ou non, sur le refus de M. Dupin, on revint au duc de Broglie; on s'inquiéta moins de mon impopularité; le Roi et le maréchal Soult en prenaient aisément leur parti; des amis communs, surtout M. de Rémusat, avaient efficacement combattu, dans l'esprit naturellement large et libre de M. Thiers, cette objection vulgaire. On s'avisa d'un expédient qui lui enlevait presque toute sa valeur. Au lieu de me rappeler au ministère de l'intérieur, on me proposa le ministère de l'instruction publique. J'étais, dans ce département, ce qu'on appelle une spécialité. Le 31 juillet 1830, la commission municipale, si ardente dans le mouvement populaire, m'y avait nommé. Le public pensait que j'y convenais, et mes amis que cela me convenait: «Je ne souhaite pas vivement, je l'avoue, m'écrivait le 29 septembre 1832 M. Royer-Collard, que mes amis soient mis
Vous me grondez d'avoir été malade, comme les mères grondent leurs enfants lorsqu'ils tombent. Pouvais-je supposer un mensonge sur un fait aussi public que le départ d'un ambassadeur? Et M. Dupin? C'était donc une fleur de rhétorique? Non, je devais le croire: et je ne vous aurais pas aimé si je n'avais été navrée en vous voyant quitter la France sans m'adresser un adieu. Mais tout ce tracas de politique, de chambres et de journaux m'est si étranger que, livrée
Madame Dupin accepta en principe l'idée du mariage, exprima le désir qu'on arrêtât les conditions pécuniaires, quitta le Plessis en y laissant sa fille, puis elle revint au bout de quelques jours, toute bouleversée. Elle avait découvert des choses monstrueuses: Casimir avait été garçon de café! On rit, elle se fâcha, elle emmena Aurore
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