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Les correspondances particulières occupaient aussi l'esprit de l'Empereur: il témoignait le désir qu'on lui communiquât ce qu'il y avait de relatif aux affaires du temps. Quelquefois il y trouvait des paroles de blâme; alors il discutait pour se défendre. Mais la correspondance générale lui garantissait les sympathies et les voeux de la France pour son retour. Les lettres aux grognards faisaient souvent rire beaucoup de monde, et c'étaient ces lettres dont Sa Majesté se plaisait

Tant que dura l'enquête, tant qu'il dut guider et égarer la justice, il fut calme, maître de lui, rusé et souriant. Il discutait paisiblement avec les magistrats toutes les suppositions qui leur passaient par l'esprit, combattait leurs opinions, démolissait leurs raisonnements. Il prenait même un certain plaisir âcre et douloureux

Enfin, quand Gaston discutait, il avait l'habitude d'accompagner ses arguments d'un mouvement de main tout particulier, d'abord avec le pouce, puis bientôt au pouce il ajoutait l'index, et

A l'instant même le roi s'élançait, furieux, hors de la chambre de la princesse royale, et San-Felice le suivait en déchirant la supplique, le capitaine Skinner discutait dans sa cabine le prix de son engagement avec un grand et beau garçon de vingt-cinq ans, qui était venu s'offrir

Dans un autre théâtre, une jeune ingénue, qui épouse un homme du monde (également ingénu), discutait avec son futur le choix du notaire qui dresserait le contrat. L'actrice désirait que ce fût celui qui est ordinairement chargé de ses intérêts. Le futur souhaitait que ce fût un de ses amis nouvellement pourvu d'une charge et auquel il avait promis sa clientèle. Au milieu de la discussion qui commençait

La reine ne le faisait pas saisir. La reine discutait encore avec lui. Donc, il était sauvé. en est la conspiration de M. de Guise? demanda froidement Catherine de Médicis. Madame, répondit enfin Maurevert en faisant un effort surhumain pour assurer sa voix, je jure sur le Christ que je n'ai pas conspiré. Et qui vous dit que vous conspirez? Allons donc, pour conspirer, il faut être quelqu'un!

Depuis plusieurs jours, on discutait vivement pour savoir si l'armée garderait la cocarde tricolore ou si elle prendrait officiellement la cocarde blanche. Le duc de Raguse réclamait avec chaleur la parole,

Maintenant, M. d'Escorval comprenait... Il ne dormait pas; c'était le marquis de Courtomieu et Martial de Sairmeuse qui causaient de l'autre côté du mur... Même, ce pauvre M. de Courtomieu avait été si prestement et si habilement écrasé par Martial, qu'il ne discutait plus. Et cette terrible lettre?... soupira-t-il.

Telle était sa théorie qu'il discutait toutes les fois que l'occasion s'en présentait. On la lui passait volontiers, sans en jamais tenir compte. Mais,

Il en trouva un cependant en la personne du comte de Rodez, Henri II. Les seigneurs de ce comté avaient été de tout temps les protecteurs des troubadours et se piquaient eux-mêmes de poésie. Pendant la dernière période de la décadence il y eut autour du comte Henri II (mort en 1302), une sorte d'école poétique, la dernière fut honorée la poésie des troubadours. De nombreuses tensons nous laissent entrevoir ce qu'y fut la vie de société. On y discutait des questions de casuistique amoureuse; certaines tensons