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La lettre était longue. Le Premier Consul y discutait avec l'éloquence qui lui était propre, et un langage qui n'était pas celui de la diplomatie, les motifs que la France et l'Autriche pouvaient encore avoir de rester armées l'une contre l'autre. Est-ce pour la religion que vous combattez? lui disait-il. Mais faites alors la guerre aux Russes et aux Anglais, qui sont les ennemis de votre foi, et ne soyez pas leur allié! Est-ce pour vous garder des principes révolutionnaires? Mais la guerre les a propagés dans une moitié du continent, en étendant les conquêtes de la France, et ne pourra que les propager davantage. Est-ce pour l'équilibre de l'Europe? Mais les Anglais menacent plus que nous cet équilibre; car ils sont devenus les maîtres et les tyrans du commerce, et personne ne peut plus lutter contre eux, tandis que l'Europe pourra toujours contenir la France, si elle voulait sérieusement menacer l'indépendance des nations. (Raisonnement malheureusement bien juste, et que quinze ans de guerre n'ont que trop justifié.) Est-ce, ajoutait le diplomate guerrier, est-ce pour l'intégrité de l'Empire germanique? Mais Votre Majesté nous a livré elle-même Mayence et les

Ensuite, ce fut la halte, le piétinement, le murmure confus. Le peuple discutait les moyens d'assaillir ces soldats rigides sous leurs bonnets de fourrure

Chaque année, l'empereur faisait lui-même le budget de la dépense de sa maison, avec la plus scrupuleuse attention et une économie remarquable. Dans les trois derniers mois de l'année, chaque chef de service réglait sa dépense pour l'année suivante. Ce travail achevé, on se réunissait en conseil de la maison et on discutait tout avec soin. Ce conseil était composé du grand maréchal, qui le présidait ; des grands officiers, de l'intendant et du trésorier de la couronne. La dépense de la maison de l'impératrice se trouvait comprise dans les attributions du grand chambellan, qui la portait sur son budget. Dans ces conseils, le grand maréchal et le trésorier étaient chargés de soutenir les intérêts de l'empereur. Ces discussions finies, le grand maréchal portait les budgets

Avait-elle péché avec ce jeune homme? Et elle tâchait de bien se rappeler les faits, elle discutait les scrupules de son innocence. Qu'était-ce donc que le péché? Suffisait-il de se voir, de causer, de mentir ensuite aux parents? Cela ne devait pas être tout le mal. Alors, pourquoi suffoquait-elle ainsi? pourquoi, si elle n'était pas coupable, se sentait elle devenir autre, agitée d'une âme nouvelle? Peut-être le péché poussait-il l

Alors, madame Lorilleux pleura, et Lantier dut l'empêcher de partir. La querelle devenait si bruyante, que madame Lerat, poussant des chut! énergiques, crut devoir aller doucement dans le cabinet, et jeta sur la morte un regard fâché et inquiet, comme si elle craignait de la trouver éveillée, écoutant ce qu'on discutait

Le gouvernement y était purement et simplement mis en question. On y discutait publiquement la chose pour se battre ou pour rester tranquille. Il y avait des arrière-boutiques l'on faisait jurer

Deux jours après, je quittais Madrid. Je vins en France. J'avais entendu dire que les femmes, du moins, y étaient libres. Je trouvai Paris fort ému par l'apparition d'un livre l'on discutait les égards qu'un mari doit aux amants de sa femme. Les théâtres étaient devenus des succursales de modistes le monde honnête allait prendre modèle sur le monde qui ne l'est pas. Tout le monde jouait, mais avec avarice et sans passion. Les femmes qui jetaient un billet de banque sur un tapis songeaient

Jacques avait emmené l'Iroquoise sur le glacis du Champ-de-Mars, et discutait chaleureusement avec elle. Allons! terminons-en, s'écria-t-il.

Après des hourras poussés pour le docteur et des hourras poussés pour la femme du docteur, les élèves se dispersèrent, et je rentrai dans la maison, je trouvai tout le monde réuni en groupe autour de lui. On y discutait le départ de M. Maldon, son courage, ses émotions et tout ce qui s'ensuit. Au milieu de toutes ces observations, mistress Markleham s'écria: « donc est Annie

On avait deux sectes, les homoousioï et les homoïousioï, se dévorant entre elles pour une lettre, pour un i. Au Congrès socialiste de Londres, on discutait la question de l'action politique. Les uns disaient: l'action politique est le salut pour les ouvriers, c'est la seule méthode pour conquérir les pouvoirs publics.