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Mis à jour: 25 juillet 2025
On a dit de Louis Bonaparte, soit en mauvaise part, soit en bonne part, car ces êtres étranges ont d'étranges flatteurs: «C'est un dictateur, c'est un despote, rien de plus.» C'est cela
Non, cet homme ne raisonne pas; il a des besoins, il a des caprices, il faut qu'il les satisfasse. Ce sont des envies de dictateur. La toute-puissance serait fade si on ne l'assaisonnait de cette façon. Allons, coupez la tête
Quelle que soit la cause, le peuple, depuis trois ans, n'a fait que reculer dans la science de l'exercice de son droit; mais aussi il a avancé dans la conscience de la possession de son droit. Ignorant des faits et des causes, trop peu capable de suivre et de discerner les événements et les hommes, il a jugé tout en gros, en masse. Il a vu une assemblée élue par lui se suicider avec rage, plutôt que de laisser vivre le principe du suffrage universel. Un dictateur s'est présenté les mains pleines de menaces et de promesses, criant
On apprenait aussi le pronunciamento de Girgenti, de Caltanisetta, qui avaient chassé les préfets royaux et leurs troupes, organisé leurs gardes nationales et ouvert immédiatement des souscriptions dont ils envoyaient les fonds au dictateur.
Parmi ces illustres protestants, il était un homme que Bonaparte avait aimé, et auquel il aurait pu dire, comme un autre dictateur
Par ce rapide aperçu, on comprendra combien devait être profonde la jalousie haineuse de Rosas. Ce mauvais sentiment avait grandi chez lui, en raison de la prospérité inouïe de Montevideo. Les prétextes de guerre contre la pacifique, mais brillante rivale de Buenos-Ayres, ne manquèrent pas au dictateur argentin.
«Je suis parti trop tôt de l'île d'Elbe; je croyais le Congrès dissous. Je n'aurais pas dû créer de Chambres; il m'aurait fallu me déclarer dictateur, ou former un Conseil de dictature sous la présidence de Carnot; mais on pouvait espérer que les alliés, me voyant appeler les Chambres, prendraient confiance en moi, et que les Chambres me donneraient des ressources qu'une dictature ne pouvait obtenir. Mais elles n'ont rien fait pour moi; elles m'ont insulté avant Waterloo, et, après, elles m'ont abandonné. De toutes façons, je n'aurais pas dû m'embarrasser d'une Constitution. Si j'avais été vainqueur, je me serais bien moqué des Chambres. J'ai eu tort, aussi, de me fâcher avec Talleyrand. Mais ces conversations-l
Article unique, la Terreur. »D'où naquit cette puissance? Qui l'avait enfantée? Dieu! comme elle passa sur les fronts et les fit pâlir! L'air la répandit au sortir de la bouche de la Convention, et tout homme qui la respira ne mourut pas, mais il donna la mort. La terreur fut la sauvegarde des villes, le général des armées, le juge du criminel, le dictateur du pays. La France change de dynastie: elle obéit
»Et pourquoi la prennent-ils? Qui leur donne cette audace? Moi-même, je dois l'avouer! Oui, moi, parce que j'ai été trop sage et trop circonspect; parce que l'on a eu l'art de répandre que j'avais un parti, que je voulais être dictateur; parce que je n'ai point voulu, en répondant jusqu'ici
Des amis de Gambetta, trouvant que c'était indigne, et par trop démocratique pour le dictateur, d'avoir une tante qui voulait faire son marché. Et la pauvre tata était renvoyée dans sa province, où elle mourait quelques mois après, dans un état d'enragement, et déchirant et mettant en pièces tout ce qui tombait sous ses vieilles mains.
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