United States or Eritrea ? Vote for the TOP Country of the Week !


Mais Nelson, sujet de Sa Majesté Britannique George III, comment pouvait-il condamner au nom de Sa Majesté Sicilienne Ferdinand Ier? Ruffo laissa tomber sa tête dans sa main. Un instant, tout ce que nous venons de dire se heurta et bouillonna dans son cerveau; puis, enfin, sa résolution fut prise. Il saisit une plume, et écrivit au roi la lettre suivante: A Sa Majesté le roi des Deux-Siciles.

15. «20 février 1821. «L'Autriche rend un service aux monarchies en détruisant l'édifice jacobin des Deux-Siciles; mais elle perdrait ces mêmes monarchies, si le résultat d'une expédition salutaire et obligée était la conquête d'une province ou l'oppression d'un peuple. Il faut affranchir Naples de l'indépendance démagogique, et y établir la liberté monarchique; y briser des fers, et non pas y porter des chaînes. Mais l'Autriche ne veut pas de constitution

Article 2. L'Espagne garde les Deux-Siciles. Mais l'Autriche, qui n'avait nulle force dans ces possessions lointaines, en revanche épaissit au Nord. Au Milanais qu'elle garde, elle joint la possession de la Toscane, plus voisine, aisée

Ce n'était pas assez que Charles régnât dans les Deux-Siciles, il agitait la Toscane et la Lombardie. Avec des troupes françaises pour auxiliaires, il faisait guerroyer Florence et Lucques contre Pise et Sienne. Il faisait guelfes les villes gibelines.

L'officier de marine tenait un pli scellé d'un large cachet rouge. Monsieur le prince vice-roi! dit l'huissier. L'officier de marine s'inclina et tendit la dépêche au prince. De quelle part? demanda le prince. De la part de Sa Majesté le roi des Deux-Siciles, répondit l'officier, et, la dépêche étant d'importance, j'oserai en demander un reçu

On a dit que le roi avait fondé les communes. Le contraire est plutôt vrai . Ce sont les communes qui ont fondé le roi. Sans elles, il n'aurait pas repoussé les Normands. Ces conquérants de l'Angleterre et des Deux-Siciles auraient probablement conquis la France. Ce sont les communes, ou pour employer un mot plus général et plus exact, ce sont les bourgeoisies, qui, sous la bannière du saint de la paroisse, conquirent la paix publique entre l'Oise et la Loire; et le roi

Le directoire, sentant la nécessité de priver Rome de l'appui de Naples, et d'assurer les derrières de Bonaparte, conclut enfin son traité avec la cour des Deux-Siciles. Il se désista de toute demande particulière, et de son côté, cette cour, que nos dernières victoires sur la Brenta avaient intimidée, qui voyait l'Espagne faire cause commune avec la France, et qui craignait de voir les Anglais chassés de la Méditerranée, accéda au traité. La paix fut signée le 19 vendémiaire (10 octobre). Il fut convenu que le roi de Naples retirerait toute espèce de secours aux ennemis de la France, et qu'il fermerait ses ports aux vaisseaux armés des puissances belligérantes. Le directoire conclut ensuite son traité avec Gênes. Une circonstance particulière en hâta la conclusion: Nelson enleva un vaisseau français

Le Château-Neuf et le château de l'Oeuf seront remis au commandant des troupes de Sa Majesté le roi des Deux-Siciles, et de celles de ses alliés, le roi d'Angleterre, l'empereur de toutes les Russies et le sultan de la Porte Ottomane, avec toutes les munitions de guerre et de bouche, artillerie et effets de toute espèce existant dans les magasins, et qui seront reconnus par l'inventaire des commissaires respectifs, après la signature de la présente capitulation.

Le Te Deum était chanté par monseigneur Capece Zurlo, archevêque de Naples, excellent homme auquel, au point de vue du roi et de la reine des Deux-Siciles, on ne pouvait reprocher qu'une trop grande tendance vers les idées libérales; il était assisté, dans l'accomplissement de ce triomphant office, par une autre sommité ecclésiastique, par le cardinal Fabrizio Ruffo, lequel n'était encore,

La princesse Pauline avait opéré un rapprochement entre l'empereur Napoléon et le roi Murat. Il paraîtrait que de ce rapprochement était résulté un traité d'alliance offensive et défensive d'après lequel l'île d'Elbe était cédée aux Deux-Siciles. Nous avons été possesseur d'une lettre du roi de Naples écrite de sa main, dans laquelle ce prince rapportait les clauses et conditions de cette cession.