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Mis à jour: 25 juin 2025
Dès que le bois consumé ne jette plus qu'une flamme languissante, il pose sur le brasier deux longs dards soutenus par deux fortes pierres, et répand le sel sacré.
Ici c'est un cheval qui s'effare et se cabre, Et se fait, dans sa chute, une blessure au sabre Qu'un mourant tient encor dans son poing fracassé; Plus loin, c'est un carquois plein de flèches, qui verse Ses dards en pluie aiguë, et dont chaque trait perce Un cadavre déj
À ces mots, Soushéna, le roi des singes, mit sous les narines de Lakshmana le simple fortuné, sublime, né sur l'Himâlaya et nommé l'Extracteur-des-flèches. À peine celui-ci en eut-il respiré le parfum, que tous ses dards glissèrent du corps au même instant. Ses douleurs s'éteignirent et ses plaies furent cicatrisées.
Dans le combat, il envoyait en masse aux Démons ses dards ornés d'or, indomptables, irrésistibles et pareils au lasso même de la mort. Ces traits, volant avec leurs ailes de héron
Revêtu de son armure, le Soumitride, tenant alors ses flèches, portant son épée, couvert de sa cuirasse et rayonnant d'une grande quantité d'or, toucha les pieds de Râma et lui dit, plein de joie: «Dans un instant ces dards, lancés par mon arc, vont dévorer le corps de ce terrible Démon, comme le feu consume un tas d'herbes sèches.»
Méfiez-vous d'une langue douce et bien pendue, D'un coeur qui semble ressentir ardemment; Ce coeur sensible ne fait que jouer un rôle; C'est un art roué chez Rob Mossgiel, L'abord ouvert, les douces caresses Sont pires que des dards d'acier empoisonnés; L'abord ouvert, les douces caresses Ne sont que finesse chez Rob Mossgiel.
«Je ne dors, ni la nuit, ni le jour, noctivague aux actions criminelles; non! Râvana, je ne puis goûter de repos, tant que je ne t'aurai pas arraché de ta racine! Qu'ici donc aujourd'hui même, de ton corps percé de mes dards et abattu sans vie, les oiseaux du ciel tirent les entrailles, comme Garouda tire les serpents!»
«Ce sont pour eux autant de forteresses d'où pleuvront demain sur nous ces dards qui, hélas! ne partent jamais en vain.
Quand Râma vit ces hideux serpents voler de tous les côtés, il mit en lumière un épouvantable trait, le dard terrifiant de Garouda. Les flèches aux ornements d'or et brillantes comme le feu, décochées par le grand arc de Râma, dévoraient, comme autant de Garoudas, les dards des ennemis transformés en serpents.
Sa descente sur la terre rappelle celle de l'ange exterminateur dans la théogonie chrétienne. «Le coeur chaud de colère, il s'élance des hauteurs de l'Olympe, ses épaules chargées de l'arc et du carquois. Sa course rapide fait résonner derrière lui les dards du dieu courroucé. Il s'approche, sombre, terrible comme la nuit, s'arrête loin des vaisseaux et lance un de ses traits.
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