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Mis à jour: 3 mai 2025
M. Dacier, que sa savante femme a rendu célèbre, obtient
[Note 199: «... Dont plusieurs chevaliers en furent moult courroucés... et dirent que or et argent y étoient efforciement accourus d'Angleterre.» Froissart, éd. Dacier, I, 26. «Si entendit-il secrètement que Charles le Bel étoit en volonté de faire prendre sa soeur, son fils, le comte de Kent et messire Roger de Mortimer, et de eux remettre ès mains du roi d'Angleterre et dudit Spencer; et ainsi le vint-il dire de nuit
Elle ouvrit alors le gros volume, dont les marges, rongées par les rats, laissaient bien des vides sur le bord des pages: c'était la traduction de l'Odyssée d'Homère par madame Dacier. Il n'y en a point de plus inexacte et de plus libre, et cependant il n'y en a point de plus fidèle. Pourquoi? Parce que la bonne et savante madame Dacier adorait Homère, son modèle, plus qu'aucun autre traducteur ne l'a jamais adoré; parce que l'amour est une révélation; parce qu'enfin, sans s'inquiéter jamais de sa propre gloire d'écrivain, cette femme, forte de l'érudition antique, ne s'appliquait qu'
Mais, quoi! avoir vingt-deux ans, et écrire Jean Dacier! Vingt-deux ans, songez donc! l'âge de l'enthousiasme littéraire, l'âge où l'on rêve de fonder une littérature
Je me montre très sévère, parce que Jean Dacier a été pour moi une véritable désillusion. Comme j'attaquais vivement le drame historique, on m'avait fait remarquer qu'on pouvait très bien appliquer
Mais Homère, monsieur! traduire Homère! Savez-vous bien que la seule simplicité d'Homère a, de tout temps, été l'écueil des traducteurs? Madame Dacier l'a changée en platitude; Lamotte-Houdard, en sécheresse; Bitaubé, en fadaise. François Porto dit qu'il faudrait être un second Homère pour louer dignement le premier. Qui faudrait-il donc être pour le traduire?
[Note 78: Cette traduction en prose du Dolopathos s'est conservée en manuscrit, Bibliothèque impériale, manuscrit, n° 7974, in-4., vélin, écriture du treizième siècle; autre, n° 7534, etc. On a cru que le poëme d'Hébers s'était perdu, et qu'il n'en restait que des fragments dans la Bibliothèque de Du Verdier, loc. cit., dans le Recueil des anciens Poëtes français, du président Fauchet, et dans le Conservateur, vol. de janvier 1760, p. 179 (M. Dacier, ub. sup., p. 557.) Mais le poëme existe
Il voulait, de plus, que le théâtre fût moralisateur. En cela il était dans la tradition du théâtre français et surtout de la critique dramatique française. Sur ce point, l'indépendant Diderot est d'accord avec Scaliger, avec Dacier, avec l'abbé d'Aubignac, avec Marmontel et avec Voltaire. Il n'est guère, du XVIe siècle au XIXe, de théoricien dramatique qui n'ait vivement insisté sur la nécessité de moraliser le théâtre, et de moraliser du haut du théâtre. Seulement au XVIIIe siècle ce penchant fut plus fort que jamais. Et il était mêlé de bon et de mauvais, comme la plupart des penchants. D'un côté, l'idée de remplacer les prédicateurs chatouillait l'amour-propre des philosophes; d'autre part, ils sentaient bien, ce qui leur fait honneur, que la direction morale, qui autrefois venait de la religion, commençant
Madame Dacier remarque qu'Homère ne parle de viande bouillie en aucun endroit de ses ouvrages. Les Hébreux étaient plus avancés,
Voici Jean Dacier, un paysan qui s'est instruit et qui représente l'homme nouveau. Il n'a pas une tache, il est grand, héroïque, sublime. Quand il a épousé la comtesse pour la sauver, et qu'elle l'écrase de son mépris, c'est
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