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l'on décrit plus compendieusement que ne l'a jamais fait aucun journal de la cour une soirée de garçon, donnée par M. Bob Sawyer en son domicile, dans le Borough.

Voyages aux Terres australes, t. I, p. 54. M. Lesson semble admettre les idées de M. Bailly dans la déscription qu'il a faite de l'île dans le Voyage de la «Coquille». J'ai décrit cette substance dans mon Journal. Je la croyais alors constituée par un phosphate de chaux impur.

Le territoire que Faust décrit

Pour la clarté de l'explication, M. Norman Gardiner décompose l'exercice en trois temps principaux, qu'il décrit minutieusement. Tout d'abord l'athlète, tenant le disque

C'était un piège préparé par Jules. Il lui avait fallu bien de la stratégie pour arranger cette promenade. En me la racontant, ce cher fils m'a décrit les alternatives de terreur et de joie par lesquelles il avait passé, pendant cette délicate négociation; puis, quand on fut dans le bois, il avait fallu encore une diplomatie savante pour que le vieux marquis consentît

[Note 124: Homère nous décrit exactement au VIe livre de son Odyssée, ce jeu dont s'amusait Nausica sur le bord de la mer, dans l'île de Corfou, lorsqu'Ulysse sortit du buisson il s'était caché après le naufrage. La reine, dit-il, jeta la balle

Sur Nîmes et sur les arènes, il écrit avec simplicité: La ville est assurément aussi belle et aussi polide, comme on dit ici, qu'il y en ait dans le royaume. Il n'y a point de divertissements qui ne s'y trouvent. Et plus loin: J'y trouve d'autres choses qui me plaisent fort, surtout les Arènes. Vous en avez ouï parler! Et il les décrit avec précision, sans vain échauffement.

Le lac jadis invisible, le Lac des Lotus qui doit être en effet, durant la saison des fleurs, le merveilleux champ de calices roses décrit par les poètes de la Chine, ne représente plus, en cette fin d'octobre, qu'un triste marécage, recouvert de feuilles roussies, et duquel monte

Heureux ceux qui peuvent espérer le paradis socialiste décrit et promis par Zola, le paradis de Fécondité, de Travail et de Vérité!

un matin donc, le poëte se promène au grand verger, le long du pourpris; il y voit sur les feuilles les gouttes de rosée toutes fraîches, rondelettes, et il les décrit