Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 22 juillet 2025


Enfin, ce fut encore un élève de Jean de Ravenne et d'Emmanuel Chrysoloras, que ce Leonardo Bruni, l'un de ceux qui illustrèrent le nom d'Arétin, ou de citoyen d'Arezzo, nom qu'un homme qui ne les valait pas, malgré tout le bruit qu'il a fait, porta dans la suite, sous lequel il est seul connu en France, et qu'il a presque déshonore. Leonardo naquit en 1369 ; il n'avait que quinze ans lorsque les troupes françaises, conduites par Enguerrand de Coucy, et réunies aux bannis d'Arezzo, entrèrent dans cette ville, et la remplirent de trouble et de carnage. Son père fut emmené prisonnier dans un château , et lui dans un autre . Dans la chambre il fut enfermé se trouvait un portrait de Pétrarque. Il y tenait les yeux sans cesse attachés, et cette espèce de contemplation l'enflamma du désir d'imiter ce grand homme. Lorsqu'il fut mis en liberté, il se rendit

Dès sa jeunesse, il se fit inscrire, ou, selon l'expression consacrée, immatriculer sur le registre de l'un des arts ou métiers entre lesquels les lois de Florence exigeaient que se partageassent tous les citoyens qui voulaient pouvoir être admis aux emplois publics . Il prit les armes dans une expédition que firent les Guelfes de Florence contre les Gibelins d'Arezzo, et se distingua aux premiers rangs de la cavalerie dans la bataille de Campaldino , , après une résistance opiniâtre, les Arétins furent vaincus. Il servit encore contre les Pisans, l'année suivante, année fatale pour lui par la perte qu'il fit de Béatrix. Il chercha, un an après, sa consolation dans un mariage qui ne lui procura que des chagrins. Quelques historiens de sa vie assurent que sa femme, qu'il avait prise dans l'une des plus puissantes familles du parti guelfe , fut

Je vis la première ombre qui avait assailli et renversé Capochio, le mordre aux noeuds du cou, et le traîner ainsi contre le fond raboteux de la vallée. L'homme d'Arezzo, qui restait l

«Lione d'Arezzo, non moins distingué par sa naissance que par son talent, m'a prié d'écrire

Je fus d'Arezzo, répondit le premier, et c'est Albert de Sienne qui causa ma mort . Je feignis un jour de lui dire que je pourrais m'élever et voler dans les airs: ce jeune insensé désira mon secret; et parce que je ne pus le changer en Dédale, il m'accusa devant celui qui se croyait son père, et je fus conduit au bûcher.

Plusieurs auteurs de chroniques générales entreprirent dans ce siècle, comme dans les précédents, de raconter l'histoire du monde. Ils avaient plus de secours, et purent tomber dans des erreurs moins grossières; mais il leur manquait encore, dans la chronologie et dans le choix des faits, des guides sûrs, et ils sont loin de pouvoir eux-mêmes en servir. L'un de ces chroniqueurs qui mérite le plus d'attention, est Matteo Palmieri, Florentin. en 1405 , il étudia sous les plus habiles maîtres, parmi lesquels on compte Charles d'Arezzo et Ambrogio le Camaldule. Il fut revêtu des premiers emplois de la république, de plusieurs ambassades importantes, et même de la suprême dignité de gonfalonnier de justice. Il mourut en 1475. Sa Chronique générale, depuis la création du monde jusqu'

Mot du Jour

orneront

D'autres à la Recherche