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Mis à jour: 30 juin 2025
«La lyre d'Apollon ne commence
Puis, comme arme défensive, où est ce casque, présent d'Apollon, dont le panache sème la terreur? où est ce grand bouclier qu'il rejette sur ses épaules quand il tourne le dos
La troisième scène s'ouvre dans le temple d'Apollon. Entrent le grand-prêtre, les sacrificateurs avec les trépieds enflammés et les instruments du sacrifice, ensuite Alceste conduisant ses enfants, les courtisans, le peuple. Ici Gluck a fait de la couleur locale s'il en fut jamais; c'est la Grèce antique qu'il nous révèle dans toute sa majestueuse et belle simplicité.
J'adressai au vainqueur de Rivoli un exemplaire d'Oscar, avec cet envoi: Toi, dont la jeunesse occupée Aux jeux d'Apollon et de Mars, Comme le premier des Césars Manie et la plume et l'épée; Qui peut-être au milieu des camps Rédiges d'immortels Mémoires, Dérobe-leur quelques instans, Et trouve, s'il se peut, le temps De me lire entre deux victoires.
Le groupe le plus remarquable après celui-ci, qui, du reste, dominait les autres comme celui d'Apollon et des Muses dominait ceux du Parnasse de Tithon du Tillet, se composait de trois femmes et de deux hommes. Les trois femmes étaient trois des femmes les plus irréprochables de Naples.
Le récitatif Arbitres du sort des humains, dans lequel Alceste, agenouillée au pied de la statue d'Apollon, prononce son terrible vœu, manque également dans la partition italienne; il offre cela de particulier dans son instrumentation, que la voix est presque constamment suivie
Adieu donc Paris, la cité reine; adieu, Versailles, la cité morte; adieu, le petit Trianon; adieu les bains d'Apollon; adieu, l'Opéra et ses nocturnes saturnales; adieu aux petites maisons lambrissées et dorées par le vice; adieu
HAMLET. Regardez ici, ce tableau d'abord, puis celui-ci, cette confrontation simulée de deux frères... Voyez quelle grâce résidait sur ce visage; les bouches d'Apollon, le front de Jupiter lui-même, l'oeil semblable
Pour moi, je trouvai une source inépuisable de douleurs dans ces flèches qu'il m'avait données pour m'élever au-dessus de tous les héros. Bientôt les rois ligués entreprirent de venger Ménélas de l'infâme Pâris, qui avait enlevé Hélène, et de renverser l'empire de Priam. L'oracle d'Apollon leur fit entendre qu'ils ne devaient point espérer de finir heureusement cette guerre,
Quand la grosse Jeanne écume son pot; Quand tous les vents sifflent déchaînés; Que la toux emporte le prône du pasteur, Que les oiseaux sont blottis dans la neige; Quand le froid rougit le nez de Marianne; Quand les pommes rôties sifflent sur le feu, Alors la chouette effrayante, etc. ARMADO. Après les chants d'Apollon, Mercure offense l'oreille. Vous, sortez de ce côté; et vous, de celui-ci .
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