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Mis à jour: 28 juin 2025


Nous avons comparé plus d'une fois la muse d'André Chénier au portrait qu'il fait lui-même d'une de ses idylles,

Oh! j'aime Paris, dit Julien, et je suis bien content de le connaître... Mon oncle, ajouta-t-il ingénument, quand nous serons aux champs, nous ferons pousser du blé nous aussi pour nourrir la France et le grand Paris. Tout en causant on avait traversé le pont et l'on arriva en face de Notre-Dame, l'église métropolitaine de Paris. Ce fut le tour d'André de dire ce qu'il savait.

Et il voulut prendre Julien dans ses bras pour le leur passer; mais le petit garçon s'accrocha résolument au cou d'André: Je ne veux pas être sauvé sans mon frère, dit-il, je ne le quitterai pas. A travers le bruit terrible de la tempête on entendit pour toute réponse ce cri égoïste et sauvage des matelots: Qu'il reste alors! chacun pour soi. Les instants pressaient.

Peu après, en 1874, M. Gabriel de Chénier publia la sienne. C'était un robuste vieillard que M. Gabriel de Chénier. À quatre-vingts ans, il portait haut la tête; ses épaules athlétiques s'élevaient au-dessus de celles des autres hommes. Son visage était immobile et chenu, mais ses yeux noirs jetaient des flammes. Il avait blanchi paisiblement dans un bureau du ministère de la guerre, et il semblait revenir, comme un autre Latour-d'Auvergne, de quelque armée de héros dont il eût été le doyen. Un de nos confrères dont j'ai oublié le nom, un jeune journaliste, l'ayant rencontré chez le libraire Lemerre, admira cette robuste vieillesse et le prit pour un homme des anciens jours. Il courut au journal annoncer en frémissant qu'il venait de voir l'oncle d'André Chénier. En réalité, il n'avait vu que le neveu. M. Gabriel de Chénier était le fils d'un des frères d'André, Louis Sauveur. Le beau vieillard manquait absolument d'atticisme. Il avait beaucoup tardé

La situation d'André devenait de plus en plus pénible et délicate. Il eut donné bien des choses pour échapper

Les plaisanteries d'Henriette embarrassaient Geneviève; elle se plaignit d'être un peu fatiguée, refusa les offres de sa compagne, qui voulait passer la nuit auprès d'elle, l'embrassa tendrement et toucha légèrement la main d'André en signe d'adieu. Comment! c'est comme cela que vous vous séparez? s'écria Henriette; un jour de fiançailles! Par exemple! vous ne vous aimez donc pas?

Si donc M. de Breulh se montrait au bras d'André avec une sorte d'affectation, c'est qu'il entrait dans ses vues de faire parler de cette amitié surprenante. Il savait qu'on ne manquerait pas de s'informer et il se proposait de répondre aux curieux, de façon

Moi, en attendant, je vous arrête, vous Martin-Rigal, autrement dit Tantaine, autrement dit Mascarot, ci-devant placeur, rue Montorgueil. Je ne vous comprends pas!... Vraiment!... vous croyez que Tantaine s'est si bien lavé les mains qu'il ne reste plus sur les mains de Martin-Rigal une seule goutte de sang d'André assassiné... Ah! ça!... c'est une gageure, sans doute...

Cette dame, la Fanny du poète, était comme on sait, la fille de la belle madame Pourrat, dont Voltaire avait vanté la grâce et l'esprit. Or, Fanny, pour lui laisser son nom d'amour et d'immortalité, Fanny avait une soeur, la comtesse Hocquart, qui vécut assez longtemps pour apporter son témoignage aux générations nouvelles. Cette dame a dit d'André, qu'elle avait souvent vu chez sa mère et sa soeur: «Il était

D'un autre côté, bien que les épreuves de sa jeunesse l'eussent dépouillé de quantité de préjugés, le costume d'André l'étonnait. Il avait bien du mal

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