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Mis à jour: 19 mai 2025
J'ai dit quelle étoit, depuis quarante ans, mon amitié pour d'Alembert, et quel prix je devois attacher
A la lueur d'un bûcher le rire devient sinistre; d'Alembert, en l'oubliant, fait penser
Cependant, année par année, par l'effort titanique de Diderot, d'Alembert, Voltaire, tant d'autres qui si généreusement y jetèrent leurs travaux, s'entassait l'Encyclopédie, livre puissant, quoi qu'on ait dit, qui fut bien plus qu'un livre, la conspiration victorieuse de l'esprit humain. Victorieuse. Je le dis en deux sens.
Je crois devoir seulement indiquer, dès ce moment, au sujet de cette seconde loi du mouvement, une remarque qui me semble importante, et qui d'ailleurs sera convenablement développée dans la dix-septième leçon. Elle consiste en ce que le célèbre principe de d'Alembert, d'après lequel on parvient
La tâche, même restreinte au programme primitif, était immense. En s'associant d'Alembert d'abord, puis une petite armée, dont il devint l'âme, Diderot ne prévoyait pas la campagne retentissante qu'il devait diriger. D'Alembert, soucieux de son repos, aurait refusé de s'y associer.
Chabanon échoue. «Nous avons préféré, écrit d'Alembert, ne pouvant avoir Pascal-Condorcet,
D'Alembert n'écrivit plus
D'Alembert, en cela comme sous beaucoup d'autres rapports, dissemblait de son ami Diderot: Diderot enseignait les mathématiques sans les savoir; d'Alembert les savait, mais n'a jamais voulu vendre une heure de son temps.
Aucune analyse ne peut remplacer les lettres échangées, réellement belles, parce qu'elles sont sincères et qu'aucun mot n'en est démenti par la vie de d'Alembert. À la lettre écrite par le marquis d'Argens pour lui communiquer les offres de Frédéric, d'Alembert répondit: «On ne peut être, monsieur, plus sensible que je le suis aux bontés dont le roi m'honore. Je n'en avais pas besoin pour lui être tendrement et inviolablement attaché: le respect et l'admiration que ses actions m'ont inspirés, ne suffisent pas
Giraud, son ami, son contemporain, ce sculpteur qui ne craignit pas de proclamer hautement, en 1779, que le Saint Roch était un bel ouvrage, eut une influence très-salutaire sur la marche que David suivit alors dans ses études. Giraud était né dans l'opulence, et se lança de très-bonne heure dans la carrière des arts. Ayant préféré la statuaire presque aussitôt qu'il l'eut étudiée, ses yeux furent ouverts sur le mauvais goût de son temps par les articles sur la théorie des beaux-arts que Sulzer avait publiés dans l'Encyclopédie de d'Alembert et de Diderot. Il partit de Paris pour Rome avec la ferme intention d'apprendre l'art, mais surtout de désapprendre (c'était son expression) les routines académiques. À Rome, il s'enferma en quelque sorte dans le musée du Vatican pendant près de trois années pour étudier l'antique, et bannir de ses yeux, effacer de son esprit les traces du goût qui déparait les œuvres d'art de son temps. Après avoir étudié l'anatomie
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