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D'Alembert revint
PORTRAIT DE D'ALEMBERT FAIT PAR LUI-MÊME, en 1760.
À propos d'éléphant, continua le prince malignement, je ne dois pas oublier mon cornac, M. d'Alembert; car en vérité vos Parisiens me regardaient comme une bête curieuse! D'Alembert me promenait tant qu'il me fatigua. S'il faut avoir une rude tête pour penser avec vous, lui dis-je un soir, il faut avoir de rudes jambes pour vous suivre!
Fontanes eut le temps de voir beaucoup d'Alembert: laissons-le dire l
Et il y a deux ans au Caire. Croirais-tu que Bonino Crétin, c'est écrit sur la petite pyramide? Pourquoi diable voyagez-vous? Je ne me le suis jamais demandé. Parbleu! pour être revenu! Sais-tu, Albert, que tu ferais un gros livre de tes voyages? Oui, si je n'avais pas lu d'Alembert: Les voyageurs sont les livres des convalescents: ils bercent doucement le lecteur.
D'Alembert dut laisser passer avant lui le comte de Clermont, Bougainville et de Boissy.
Dans la première partie du livre de d'Alembert, les croquignoles ne pleuvent pas encore.
Ce jugement est confirmé par les détails d'une affaire peu connue, celle du jésuite Tolomas, membre de l'Académie de Lyon, poursuivi, sur des motifs qu'on jugera bien légers, par la colère de d'Alembert qui demande avec insistance
D'Alembert écrivait un jour
Si d'Alembert avait tenté de s'immiscer avec Frédéric dans les affaires du gouvernement, il n'aurait pas eu sans doute plus de succès qu'avec Catherine, mais on l'aurait éconduit moins sèchement.
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