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Mis à jour: 25 juin 2025
M. de Salha, capitaine de frégate, embarqué avec Jérôme et Halgan, devenu un des aides de camp du roi, brave marin, mais esprit ordinaire, nommé en 1809 comte de Hoene, fut d'abord gouverneur des pages, puis ministre de la guerre après le général d'Albignac. Halgan, resté au service de France, y devint amiral. Il avait commandé le brick l'
La division du général Gratien, le régiment de Berg et une grande partie de la garde marchent avec Sa Majesté. La totalité de ces troupes est entre 6 et 7,000 hommes; celles du général d'Albignac, en y comprenant les Saxons, montent au même nombre dans lequel il y a 1,300 chevaux. L'artillerie des deux corps est de 52 pièces; celle des Hollandais surtout est très belle et parfaitement tenue. Le corps hollandais et environ 800 Français, répartis entre les deux divisions, sont ce que nous avons de mieux en officiers et en soldats. D'après des renseignements qu'on a lieu de croire exacts, les forces du duc d'Oels montent en tout
Manie des Français de se prendre pour termes de comparaison. Usages piémontais. Les dames romaines et la valeur du temps. Singulière signification d'un mot français en Piémont. Mœurs piémontaises. Bizarrerie d'un jaloux. L'empereur content de nous. Quelques souvenirs sur la suite de Pauline. Organisation de ma table et les capitaines de garde au palais. Madame Hamelin, mérite et résignation. La lettre de recommandation. Histoire véridique du capitaine Poulet. Son portrait, sa jeunesse et sa femme. Bonnes manières des officiers sortis des pages et des gendarmes d'ordonnance. Motifs de l'empereur en créant les gendarmes d'ordonnance. Craintes et plaintes de quelques chefs de l'armée. Licenciement des gendarmes d'ordonnance. Le capitaine Aubriot. Détails curieux sur le corps licencié. Le général Montmorency, d'Albignac, et leçon de hiérarchie militaire. Notre gouvernement un joli petit royaume. M. Vincent de Margnolas, préfet de Turin, conseiller d'état
Votre Excellence me rend la justice de croire que je n'ai rien négligé pour obtenir que cet objet fût mis entièrement en règle. Aussi en sentais-je toute l'importance. La réception de vos lettres, aussi pressantes que multipliées, a été suivie immédiatement de la transmission par écrit de vos réclamations au ministre des relations extérieures, et quelquefois en même temps au ministre de la guerre directement. En outre j'ai saisi toutes les autres occasions qui se présentaient pour entretenir de vive voix et ces deux ministres et celui des finances. M. le général d'Albignac me disait encore en partant que c'était sur ce budget de 747,000 francs, si le ministre des finances l'avait payé en entier, qu'il avait espéré de faire des économies pour payer 100,000 fr. d'
Il y a eu le 28 un petit engagement entre les troupes du général d'Albignac et celles du duc d'OEls, en avant de Waldheim. Il paraît que c'était une affaire de reconnaissance et que le tout s'est réduit
Ma conversation avec M. de Furstenstein s'est prolongée pendant près d'une heure. Sans égard pour les chevaux attelés, je me sentais pressé d'obtenir quelque chose, et qui nous aurait vus aurait dit que c'était moi qui recevais les reproches. Le ton de M. de Furstenstein devenait quelquefois confidentiel, mais sans abandon, et surtout il n'est entré dans aucun détail d'explication ni de justification. Le général d'Albignac avait été surpris
Les trois lettres suivantes, des 24, 28 et 30 septembre, mentionnent la démission du général d'Albignac, ministre de la guerre, qui venait, quelques mois auparavant, de remplacer le général Eblé. Cette démission, offerte avec l'espoir qu'elle serait refusée, fut acceptée sur-le-champ, et le général Salha nommé
Quand les gendarmes d'ordonnance furent arrivés en Prusse, d'Albignac, qui était pour ainsi dire
M. d'Albignac, grand-écuyer, en déplorant comme le général Eblé les désordres des finances, l'impossibilité de continuer les dépenses de la cour sur le pied où elles sont, est réduit
Il est de mon devoir, Monseigneur, non d'accuser M. de Bulow, ministre des finances, mais de dire que beaucoup de personnes l'accusent. Aux yeux de M. Jollivet, c'est un ennemi des Français, qui n'est jamais de bonne foi. Aux yeux de M. d'Albignac, c'est un Prussien qui nous trahit et qui dans cette vue augmente le désordre et favorise les dépenses.
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