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Mis à jour: 17 mai 2025
À de certains moments de l'histoire humaine, aux choses qui se trament, aux choses qui se font, il semble que tous les vieux démons de l'humanité, Louis XI, Philippe II, Catherine de Médicis, le duc d'Albe, Torquemada, sont quelque part l
Ces fais et ces nouvelles esmeurent le roy contre les Saisnes plus encore qu'il n'estoit devant; tout destruist et dégasta comme tempeste ce que il trouva devant luy, et puis s'en retourna en France. Mais avant qu'il se partist de Sassoigne, quant il séoit en ses heberges sur le fleuve d'Albe, vindrent
Les dispositions de l'Europe protestante commandaient la prudence. La reine d'Angleterre supputait froidement les avantages et les risques d'une intervention aux Pays-Bas, et, par jalousie de la France, refusait de se concerter avec Charles IX. Elle rétablissait les relations commerciales avec les Flandres, qu'elle avait suspendues, et renouait avec le duc d'Albe. Son projet de mariage avec le duc d'Anjou s'était rompu sur la question religieuse, comme elle s'y attendait. Catherine, qui ne renonçait pas volontiers
Ciapino Vitelli, marquis de Chelona, célèbre capitaine italien, était l'un des principaux chefs de l'armée espagnole sous les ordres du duc d'Albe. En 1564, il avait conduit les bandes italiennes dans l'expédition d'Afrique. Depuis, Philippe II l'avait envoyé dans les Pays-Bas, où il exerçait les commandements les plus importants; il fut même dans la suite créé Grand-Maréchal. Tous les historiens ont pensé que cette mission, dont il fut chargé en 1569, avait pour but secret d'assurer aux catholiques d'Angleterre un chef expérimenté, aussitôt qu'ils se seraient déterminés
Le catholique Philippe II sentait les Pays-Bas frémir sous sa pesante main de fer. Il voyait cette riche proie travaillée par la réforme, et il dressa contre les calvinistes, en qui il voyait surtout des ennemis de son administration absolue, les bûchers, les potences et les échafauds dont le duc d'Albe se fit le sanguinaire pourvoyeur.
Elise, je recueille bien le fruit d'avoir rempli mon devoir en accompagnant M. d'Albe ici. Je m'y sens plus heureuse que je ne l'ai jamais été; je n'éprouve plus ces momens de tristesse et de dégoût dont tu t'inquiétais quelquefois. Sans doute c'était le monde qui m'inspirait cet ennui profond, dont la vue de la nature m'a guérie. Mon amie, rien ne peut me convenir davantage que la vie de la campagne, au milieu d'une nombreuse famille. Outre l'air de ressemblance avec les moeurs antiques et patriarcales, que je compte bien pour quelque chose, c'est l
Ce n'est pas de voir une noble dame veiller au soin de ses domaines; mais j'aurais cru que c'était de plus loin. Je conçois cela. Vous êtes de la cour, et les beautés d'Albe Royale ne promènent pas dans l'herbe leurs souliers dorés.
Je l'ôterais au duc d'Albe en personne, répondit l'hôtelier, pour la donner
De même qu'un calme parfait est souvent le précurseur des plus violentes tempêtes, un repos qui m'était inconnu depuis long-temps avait rempli ma journée. J'acceptai avec empressement la promenade proposée par M. d'Albe, afin de revoir cette nature dont la bienfaisante influence m'avait été si salutaire le matin: mais je la revis avec vous, et elle ne fut plus la même: la terre ne m'offrait que l'empreinte de vos pas; le ciel, que l'air que vous respiriez; un voile d'amour répandu sur toute la nature m'enveloppait délicieusement, et me montrait votre image dans tous les objets que je fixais. Enfin, Claire,
C'est mon hôte, madame!... Messieurs, songez-y... C'est l'enfer qui nous attend tous s'il vit! rugit Catherine. Moi, je retourne en Italie, dit Gondi. Le salut de mon âme avant tout! Sire, fit le chancelier de Birague, daigne Votre Majesté me permettre de me retirer sur mes terres... Par le tonnerre du Ciel! vociféra Tavannes, je vais offrir mon épée au duc d'Albe! Partez! gronda Catherine.
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