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Mille pardons, si je vous ai blessé, monsieur l'abbé, reprit Thomas Elgin d'un ton dégagé; je n'en avais pas l'intention, croyez-le bien. Et puis, ces choses-l

Devant l'assurance d'Adeline, il se retourna vivement. Au fait, dit-il, pourquoi pas? Vous avez raison de vous étonner de ma surprise, qui n'a pas d'autre cause, croyez-le bien, que l'idée j'étais que vous viviez en dehors des cercles, en bon père de famille.

Vous retournez en Angleterre? demanda Stone. Oui, et le plus vite possible. Vous êtes bien heureux... Nous autres, nous voguons vers l'exil et nous ne reverrons jamais notre pays... c'est dur, croyez-le... Le «hard labour» est encore plus dur... Allons, séparons-nous... Stone me serra la main et sa femme m'embrassa avec effusion.

Brissac se releva lentement, son visage était sillonné de larmes. Sire, dit-il en courbant la tête, quel jour Votre Majesté veut-elle entrer dans sa ville de Paris? Le roi poussa un cri de joie, il ouvrit les bras a Brissac. Oh! je suis Français, croyez-le, sire, et bon Français, dit le comte en se précipitant aux pieds de son roi qui le releva et le serra étroitement sur sa poitrine.

Et cet air n'est pas trompeur, croyez-le, chevalier. Il serait malséant de faire mon éloge. Au milieu de la société besogneuse et mendiante que vous voyez ici, j'ai le bonheur de n'être

J'obéis; elle passa son bras autour de moi et m'attira tout près d'elle. Après un long silence elle me dit, toujours très bas: «Je suis très heureuse, Jane. Quand on vous dira que je suis morte, croyez-le et ne vous affligez pas; il n'y a l

Oui, peur, et, croyez-le, si je ne m'étais sentie de taille

Et André, les montrant l'une après l'autre du bout de son doigt, prononça comme un écolier qui récite docilement sa leçon: "Zahidé, Néchédil, Ikbal." "Oh! que c'est bien!... Mais nous ne nous appelons pas comme cela du tout, vous savez? Je m'en doutais, croyez-le... D'autant plus que Néchédil, entre autres, est un nom d'esclave. Néchédil... En effet, oui... Ah! vous êtes si fin que ça!"

Non, ce n'est pas une fable de Kryloff que je veux réciter, mais une fable de moi, de ma composition. Croyez-le bien, madame, je ne suis ni assez inculte, ni assez abruti pour ne pas comprendre que la Russie possède dans Kryloff un grand fabuliste

Eh bien, dans l'intérêt de l'avenir encore plus que dans l'intérêt du présent, quoique l'intérêt du présent me préoccupe autant qu'aucun de vous, croyez-le bien, je dis au pouvoir exécutif: Prenez garde! l'immense autorité dont vous êtes investi.... LE G