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Mis à jour: 20 juillet 2025


Adieu, je vous souhaite un bon voyageJe lui serre la main et je la vois s'éloigner avec les deux dames allemandes. Alors, le croira-t-on, je devins presque joyeux; je l'avais revue une seconde fois, je lui avais parlé de nouveau, j'avais encore pressé sa main, je tenais une lettre d'elle, lettre qu'elle terminait en m'assurant de ses sentiments affectueux. C'était un trésor inespéré; et je m'acheminai vers le Grand-Hôtel avec l'espoir de dîner

Croira-t-on bien qu'

Qui croirait encore qu'on avait accueilli ces misérables dénonciations et d'autres plus absurdes, telles que de dire que j'avais enlevé trente-six mille francs avec lesquels j'étais parti de Paris comme banqueroutier? Croira-t-on que tout ceci s'était accrédité au point de dicter un mandat d'arrêt contre moi? Mais je parais

Croira-t-on que Flassan ose imprudemment dire que Choiseul n'est pas Autrichien? Que nous en coûta-t-il? rien que le monde. Enfermée désormais, perdant

Croira-t-on qu'il veut donner le loisir aux artilleurs de ferrer leurs chevaux contre la glace? comme si l'on pouvait obtenir un travail quelconque d'ouvriers exténués par la faim, par les marches; de malheureux

Il s'arrêta. Il y pensait, et ils y pensaient. Avec ce qu'il venait de dire, il avait, le croira-t-on? transformé en rêveurs ces soldats qui avaient vu tous les genres de feux, ces moines débauchés, ces vieux médecins, tous ces écumeurs de la vie et qui en étaient revenus. L'impétueux Rançonnet, lui-même, ne souffla mot, Il se souvenait.

Mais il commit, en matière d'exorde, de plus fortes hérésies littéraires. Le croira-t-on? Il commença souvent ses discours par la conjonction et, en démagogue qu'il était! Ainsi le 15 juillet 1791, aux Jacobins, il débute en ces termes: «Et moi aussi, j'aime la paix, mais non la paix de l'esclavageEt

C'est dans une de ces heures d'isolement, je m'en souviens, que j'essayai pour la première fois de faire une fable. Le croira-t-on? je n'en pus venir

Croira-t-on que, sans tirer un coup de canon ni un coup de fusil depuis la première capitulation, ils en signèrent une autre par laquelle ils rendirent prisonnier de guerre, pour être conduit en France par mer, tout le corps d'armée, qui devait défiler et mettre bas les armes, avec la sotte condition qu'on les leur rendrait au moment de leur embarquement pour la France? Enfin on eut l'infamie de ne pas rejeter un article que le général espagnol y fit insérer, par lequel les malheureux soldats qu'on sacrifiait lâchement furent déshonorés. On les obligea de mettre leurs havresacs

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qu'oublieuse

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