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Et j'ai ri du vieil ange qui n'est point venu De vol très indolent me tendre un beau calice J'ai ri de l'aile grise et j'ôte mon cilice Tissé de crins soyeux par de cruels canuts Vertuchou Riotant des vulves des papesses De saintes sans tétons j'irai vers les cités Et peut-être y mourir pour ma virginité Parmi les mains les peaux les mots et les promesses

Ernauton subissait malgré lui l'influence étrange de cet enfant; il obéit, s'accrocha aux crins du cheval, tandis que de son côté le page s'attachait

La lieue est de 3 milles; le mille de 3,000 coudées, mesure d'el-Hachîm, l'une des premières tribus arabes. La coudée est de 24 doigts; le doigt de 6 grains d'orge par le travers; et le grain de 6 crins de la queue d'un mulet. Route du Kaire au Saïd.

Et, d'autres fois, tu m'es le frisson clair Du vent rapide et miroitant Qui passe, avec ses doigts d'éclair, Dans les crins d'eau de l'étang blanc. Au bon toucher de tes deux mains, Je sens comme des feuilles Me doucement frôler; Que midi brûle le jardin. Les ombres, aussitôt recueillent Les paroles chères dont ton être a tremblé.

Et, après Diomèdès, le Nèlèiôn Antilokhos arriva, poussant ses chevaux et devançant Ménélaos par ruse et non par la rapidité de sa course. Et Ménélaos le poursuivait de près. Autant est près de la roue un cheval qui traîne son maître, sur un char, dans la plaine, tandis que les derniers crins de sa queue touchent les jantes, et qu'il court

Jadis c'était la vie énorme, exaspérée, Sauvagement pendue aux crins des étalons, Soudaine, avec de grands éclairs

Il traverse d'un vol, sur tes ailes de flamme, Tous les champs du possible, et les mondes de l'âme, Boit au fleuve éternel; Dans la nuit orageuse ou la nuit étoilée, Sa chevelure, aux crins des comètes mêlée, Flamboie au front du ciel. Il crie épouvanté, tu poursuis implacable.

Les anges ont péché avec les femmes. en cilices de crins: Le Sauveur a dit: «Je suis venu pour détruire l'oeuvre de la Femmeen cilices de joncs: L'arbre du mal c'est elle! Les habits de peau sont notre corps. Et, avançant toujours du même côté, Antoine rencontre LES VAL

Rien n'y manque... Seigneurs blasonnés et superbes, Prêtres, marchands, soldats, professeurs, écoliers, Les vieillards tout chenus, et les pages imberbes; De beaux jeunes garçons et de blonds écuyers, Soufflent allègrement aux bouches des trompettes Et suspendent leurs bras aux crins blancs des coursiers.

Il était d'abord trop Parisien, Parisien des dessous et des dessus de Paris, pour ne point connaître Offenburger cet Offenburger dont la jolie fille était aussi fine d'attaches et de beauté que le père était énorme et gras. M. Offenburger? Un grand bel homme, joliment fleuri, gros, ventru, tout en menton et en joues, le nez busqué sur d'énormes lèvres rouges, des favoris noirs, frisés comme des crins, lui mettant comme deux plaques d'encre de Chine sur sa peau rosée, et ses grands yeux d'Oriental ruminant, traînant sur les hommes et les choses avec une affectation de bonté placide qui était tout simplement une sorte de dédain bienveillant, la constatation personnelle de sa propre supériorité. Quand il avait sur la tête son chapeau, qu'il gardait volontiers, il paraissait jeune encore avec sa carrure de beau Turc et le teint clair de son visage; il ne reprenait son âge que lorsqu'il se découvrait, laissant voir comme