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Or ce vieillard était horrible: un de ses yeux, Crevé, saignait, tandis que l'autre, chassieux, Brutalement luisait sous son sourcil en brosse; Les cheveux se dressaient d'une façon féroce, Blancs, et paraissaient moins des cheveux que des crins; Le vieux torse solide encore sur les reins, Comme au ressouvenir des balles affrontées, Cambré, contrariait les épaules voûtées; La main gauche avait l'air de chercher le pommeau D'un sabre habituel et dont le long fourreau Semblait, s'embarrassant avec la sabretache, Gêner la marche et vers la tombante moustache La main droite parfois montait, la rebroussant.

Ce tamanoir était superbe, avec sa longue queue, mélangée de crins grisâtres; ce museau en pointe qu'il plonge dans les fourmilières, dont les insectes font sa principale nourriture; ses longues pattes maigres, armées d'ongles aigus, longs de cinq pouces et qui peuvent se refermer comme les doigts d'une main. Mais quelle main, que cette main de tamanoir! Quand elle tient quelque chose, il faut la couper pour lui faire lâcher prise. C'est

4. Enfin ce ne peut pas être la bataille de Platée, attendu qu'avant la bataille de Platée les Perses ayant été vaincus dans une rencontre et ayant perdu Maniste, un de leurs chefs, Mardonius avait ordonné qu'en signe de deuil tous les soldats de son armée taillassent leurs cheveux et leurs barbes, et qu'on coupât les crins aux chevaux et aux bêtes de somme. Voyez plutôt Hérodote: «La cavalerie revenue au camp, toute l'armée exprima la douleur qu'elle ressentait de la mort de Maniste, et Mardonius plus que tous les autres. Aussi les Perses se taillèrent-ils la barbe et les cheveux, et coupèrent-ils les crins de leurs bêtes de somme, et jetèrent-ils des cris qui retentirent dans toute la Béotie; et cela venait de ce qu'ils demeuraient privés d'un personnage qui, après Mardonius, était, de l'avis du roi lui-même, le premier parmi tous les PersesOr, les cavaliers perses de la mosaïque sont

Chut! s'écria Colomba; j'entends un cheval, nous sommes sauvésEn effet, un cheval qui paissait dans le maquis, effrayé par le bruit de la fusillade, s'approchait de leur côté. «Nous sommes sauvésrépéta Brandolaccio. Courir au cheval, le saisir par les crins, lui passer dans la bouche un noeud de corde en guise de bride, fut pour le bandit, aidé de Colomba, l'affaire d'un moment.

Les voyageurs obligés de traverser la Baraba, pendant l'été, ont le soin de se munir de masques de crins, auxquels se rattache une cotte de mailles on fil de fer très-ténu, qui leur couvre les épaules. Malgré ces précautions, il en est peu qui ne ressortent de ces marais sans avoir la figure, le cou, les mains criblés de points rouges. L'atmosphère semble y être hérissée de fines aiguilles, et on serait fondé

Mais si c'était pour la jeune fille qu'il prenait la maison, dans quel but la faisait-il visiter par son matelot, sans lui demander après la visite ce qu'il en pensait? Simon grattait son crâne, fouillait ses crins... il ne trouvait rien.

Quoi qu'il en soit, ce qui dans le Discours sur l'inégalité a probablement le plus secoué le beau monde, et ce qui a le plus agi quarante ans plus tard, ce sont probablement des lieux-communs emphatiques ou violents comme ceux-ci (j'en indique seulement le début et comme la première modulation): Sur la liberté: Comme un coursier indompté hérisse ses crins, frappe la terre du pied et se débat impétueusement

Dès sa première enfance, la vue de certains dragons du , aux longs manteaux blancs, et la tête couverte de casques aux longs crins noirs, qui revenaient d'Italie et que Julien vit attacher leurs chevaux

Ayant ainsi parlé, il inspira une grande force aux chevaux, et ceux-ci, secouant la poussière de leurs crins sur la terre, entraînèrent rapidement le char léger entre les Troiens et les Akhaiens. Et Automédôn, bien que pleurant son compagnon, excitait l'impétuosité des chevaux, tel qu'un vautour sur des oies. Et il s'éloignait ainsi de la foule des Troiens, et il revenait se ruer dans la mêlée; mais il poursuivait les guerriers sans les tuer, ne pouvant

Et le lieutenant morigéna un cavalier pour la façon dont il coupait les crins de sa monture. Alors survint le chef d'escadron, l'élégiaque officier, qui, s'il ne portait plus dans un sachet vert la boucle de sa cruelle, n'avait point quitté ses mines alanguies ni ses soupirs. Les poches bistrées de ses yeux indiquaient quel prix son âge mûr payait