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Mis à jour: 16 mai 2025


C'était une belle et forte femme que Guyonne. Impossible d'imaginer plus magnifique assemblage de formes masculines unies aux grâces féminines. Sa tête, admirable d'expression, surmontait un buste richement proportionné, quoique d'apparence athlétique. Son épaisse chevelure noire flottait sur ses épaules en boucles soyeuses encadrant un visage d'un ovale parfait. Le front découvert, large, les sourcils bien accusés, le nez quelque peu busqué et surtout la vivacité des yeux de Guyonne, dénotaient chez elle un caractère opiniâtre et exalté. Cependant, malgré sa haute taille et son organisation virile, ses mains étaient mignonnes, bien que bistrées par de rudes travaux, ses pieds comparativement, petits. Si son coup d'oeil d'aigle imposait aux plus téméraires, l'aménité de ses manières, la douceur touchante de sa voix séduisaient ceux qu'elle traitait en amis. Fière avec les dédaigneux, soumise sans bassesse avec ses supérieurs, affable avec ses égaux, Guyonne déployait envers ses proches une abnégation

Il reconnaissait ces grands yeux sauvages, doux comme ceux de la gazelle, au fond desquels se lisaient des pensées au-dessus de son âge; mais ces paupières bistrées et ce front candide n

Blanche était bien pâle, mais jolie et désirable encore avec son visage irrité, ses mignonnes dents grinçantes, ses paupières bistrées, ses yeux étincelants et la voluptueuse flambée de ses cheveux roux.

De larges solives de chêne rayaient le plafond, toutes bistrées et noircies par la fumée du foyer et des chandelles. Sur les dressoirs brillaient dans l

L'autre femme était plus petite et plus frêle. Elle se tenait tout recroquevillée dans son fauteuil, près du poêle. A mon entrée, elle tourna vivement la tête de mon côté, mais son corps demeura immobile. Ses cheveux étaient aussi gris que ceux de sa compagne et sa figure aussi exsangue et aussi ridée. Mais sa pâleur avait une nuance d'ambre, et des ombres bistrées creusaient ses tempes et accentuaient la minceur de ses narines. Sous sa robe informe, elle gardait une immobilité flasque, et ses yeux sombres avaient l'éclat maléfique particulier

Loti, demanda d'abord Tiahoui, celles-ci, que font-elles?... Elle montrait de la main un groupe de femmes légèrement bistrées, et parées de longues tuniques éclatantes, qui étaient assises avec des officiers autour d'une table couverte d'un tapis vert.

Elle prit un chemin sous bois, qu'elles suivirent assez longtemps. Est-ce encore loin? demanda Auberte. La femme ne répondit qu'en secouant la tête. Ses mains avaient été déformées par de trop durs travaux, ou peut-être par un accident ou une maladie, et il y avait une teinte si livide sur ses joues bistrées qu'Auberte lui demanda si elle souffrait. La femme dit brièvement: Je sors des fièvres.

Le visage de l'Indienne est beau, nonobstant le peu de régularité des lignes; mais comme il est étrange, comme ses teintes chaudes, bistrées, sont en opposition avec la blancheur marmoréenne, livide du visage de l'Européen! comme la barbe noire de celui-ci fait encore ressortir la matité de sa carnation! comme enfin l'attitude, touchante et le costume pittoresque de l'Américaine donnent de l'éclat, de la vie

Et le lieutenant morigéna un cavalier pour la façon dont il coupait les crins de sa monture. Alors survint le chef d'escadron, l'élégiaque officier, qui, s'il ne portait plus dans un sachet vert la boucle de sa cruelle, n'avait point quitté ses mines alanguies ni ses soupirs. Les poches bistrées de ses yeux indiquaient quel prix son âge mûr payait

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