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Assis dans l'étude de M. de Courval, Durand, sans employer de circonlocutions, informa son hôte, qui en fut enchanté, de ce qui venait d'avoir lieu, le priant en même temps de remplir le devoir d'écrire

Parmi ces derniers il y avait une famille tout récemment arrivée de France et qui accepta très-volontiers la pressante invitation que lui fit M. de Courval d'aller passer une partie de l'été avec lui. Monsieur et madame Lubois vinrent donc, amenant avec eux deux jeunes enfants, âgés respectivement de sept et neuf ans, ainsi que leur gouvernante. Cette dernière, Geneviève Audet, était une jeune fille de frêle apparence, aux traits délicats et aux manières timides, possédant une éducation suffisante pour l'humble poste que'elle occupait, mais en réalité n'ayant pas de grandes connaissances en dehors de cette sphère. Elle était un cousine éloignée sans fortune de la famille avec laquelle elle vivait, et ainsi que cela arrive souvent, ces liens de la parenté vis-

Que diable as-tu donc? lui demanda-t-il avec colère. Tu te montes grandement sur ta dignité aujourd'hui! Pas plus que tu te montais sur la tienne le dernier soir que nous nous sommes rencontrés chez M. de Courval et tu étais trop raffiné pour donner la main

D'une voix douce, elle lui adressa ces paroles: Paul, je suis peinée, vraiment peinée, de t'avoir fâché de la sorte. Si j'avais su que tu eusses désapprouvé les visites du capitaine de Chevandier, j'aurais refusé de les recevoir, au risque d'insulter sans provocation un ami de M. de Courval.

Rarement il allait chez M. de Courval, malgré les pressantes invitations de celui-ci. Gertrude était toujours douce et polie pour lui; mais malgré son inexpérience dans les manières des femmes, il ne pouvait se tromper sur les sentiments hostiles de madame de Beauvoir

Les titres des onze nouvelles contenues dans ce recueil sont: Juliette et Raunai, ou la Conspiration d'Amboise. La Double épreuve. Miss Henriette Stralsond. Faxelange. Florville et Courval. Rodrigue. Laurence et Antonio. Ernestine. Dorgeville, ou le Criminel par vertu. La comtesse de Sancerre. Eugène de Franval.

Il n'y avait plus aucune nécessité pour M. de Courval d'envoyer chercher Paul, car maintenant celui-ci avait toujours quelque message

C'est mademoiselle Délima, la cousine en question. En! bien, il faut que tu aies l'esprit obtus ou que tu sois un fin matois! reprit Belfond en jetant sur son ami un regard pénétrant. Quoi! cette jeune fille est un beauté, et sa mine et sa toilette sont aussi gracieuses que celles d'aucune des dames qui se trouvaient hier soir chez M. de Courval, sans même excepter Gertrude la non pareille.

Courval Sonnet, poète satirique assez connu, dont les œuvres ont été publiées cette même année, 1622, parurent les premiers Caquets de l'accouchée, fait allusion, dans une pièce dirigée contre le mariage, au luxe déployé par les femmes dans cette circonstance: Les toilettes de nuict et les coiffes de couche, Brassières de satin, quand Madame est en couche, Sans oublier encor les coiffes de velours, La robbe de damas avec tous ses atours .

A la mort de son beau-frère, Jules de Beauvoir, survenue quelques années auparavant, et qui les avaient laissées dans des circonstances pleines d'embarras, M. de Courval les avaient emmenées de Québec pour conduire son ménage de garçon. Comment se porte M. de Courval? avait demandé la tante Ratelle. Très-bien, et il s'est informé avec bonté de nos garçons.