Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 10 octobre 2025
Après son mariage, la froideur et l'indifférence du Corinne s'évanouirent comme fond la neige sous le soleil d'avril, et jamais femme ne fut plus aimante ni plus dévouée. Jamais de Mirecourt ne lui dit qu'il avait surpris son secret, jamais, non plus, il ne lui donna
Corinne seule, parmi les productions de Madame de Staël, me paraît une œuvre d'artiste. J'en ai parlé dans ce point de vue; et je m'explique ce mérite par la situation intellectuelle et morale de l'auteur, lors de la composition de ce roman. Corinne est le milieu dans la vie de Madame de Staël; le milieu entre la passion et la conviction, entre le trouble et le repos; elle a cessé de dogmatiser dans un sens, elle ne dogmatise point encore dans un autre. Elle ne se repose point dans l'indifférence, elle s'arrête dans la contemplation, dans la contemplation émue, si l'on peut ainsi parler. Rien, je le pense, n'est aussi favorable
Dans l'entrevue qu'il eut avec notre héros, celui-ci se montra courtois, généreux, clément et courageux. Il considérait la décision de Corinne comme une inspiration du ciel, et, en bon chrétien qu'il était, il l'accepta avec une entière soumission
Il fallait aussi lui apprendre la décision de Corinne. Le malheureux père avait peine
«Cette figure de Corinne est ingrate
J'étais dans la loge de Corinne, qui, parole d'honneur, a porté beaucoup de tort au succès de madame Scio. Corinne a chanté? Non, belle naïade; elle a suspendu
Du matin au soir, sons la pluie comme sous les rayons brûlants du soleil, il travaillait sans s'accorder aucun repos et sans ressentir la moindre fatigue; car la belle figure de Corinne souriait toujours
Le jeune de Mirecourt comprit alors toute la vérité. Cette froideur, cette indifférence dont Corinne avait fait preuve, c'était donc une feinte, un voile de glace avec lequel la jeune fille avait recouvert un amour qui avait grandi avec elle, qui était devenu le sentiment dominant de sa vie, mais un sentiment que la noble fierté et la modestie de l'enfant lui avaient fait concentrer en elle-même. Oui, malgré cet amour ardent qu'elle éprouvait pour lui, elle avait eu assez de courage pour plaider la cause d'une autre, pour lui sourire au moment même où, elle en était convaincue, il allait offrir son coeur
Elle s'excusa de les avoir si brusquement dérangés, et sortit en saluant notre héros avec une grâce parfaite. Le jeune homme reprit son rôle de souffleur au milieu des plus grandes distractions. Quelle gracieuse et aimable jeune fille! pensait Jean-Charles, en regagnant, tout rêveur, son humble logis... Corinne, nous l'avons dit, avait dix-neuf ans.
«Improvisation de Corinne, au Capitole. »Italie, empire du Soleil; Italie, maîtresse du monde; Italie, berceau des lettres, je te salue. Combien de fois la race humaine te fut soumise, tributaire de tes armes, de tes beaux-arts et de ton ciel!
Mot du Jour
D'autres à la Recherche