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Mis à jour: 10 octobre 2025


On a blâmé comme une extrême inconvenance la scène théâtrale Corinne, déj

Cette page de Corinne est intéressante

Il est vrai que la dernière composition de Corinne n'est pas un léger et douloureux murmure, mais ce sont des accents bien doux et bien touchants; leur charme peut m'avoir séduit; il en a séduit bien d'autres; toutefois il me semble que le reproche d'inconvenance ne doit pas les atteindre. Corinne,

Corinne, si vous vous en tenez au roman, est une variante de Delphine. Corinne c'est Delphine, artiste et poète, ajoutant au dévouement l'enthousiasme; Oswald, c'est Léonce, mieux élevé, ce me semble, plus digne, plus maître de lui-même, un Léonce anglais, avec la mélancolie de plus et la santé de moins; car, je suis presque fâché de le dire, lord Nelvil a été le premier héros de roman de l'espèce des poitrinaires. Il ne restait dès lors plus

Il est parfaitement vrai que Mme de Staël connaissait la Triste ballade de la noble épouse d'Asan-Aga, qu'elle avait lue dans la traduction de Goethe, et cela avant la publication de Corinne. «Je suis ravie de la Femme morlacque», écrivait-elle, en 1804,

Peut-être... mais, mademoiselle, pour le. moment, je voudrais le trouver dans le coeur d'une jeune personne que j'aime,... et si j'étais assez heureux pour me faire aimer d'elle, je lui donnerais volontiers, en échange de son amour, mon beau titre de notaire avec les espérances d'un brillant avenir. Ce garçon-la est fou! pensa Corinne, sans répondre.

Le morceau intitulé: Du caractère de M. Necker et de sa vie privée, parut en 1804, ainsi entre Delphine et Corinne. Nous l'avons laissé en arrière; il ne convient pourtant pas de le passer sous silence. À l'époque il parut, bien des lecteurs furent peut-être plus frappés de l'exagération de l'éloge, que des beautés de l'ouvrage; le compte qu'il fallait tenir et qu'ils croyaient avoir tenu d'un deuil récent, ne les empêcha pas de se récrier sur bien des passages et sur le ton général de cet écrit. Ils ne pardonnaient pas

Le prince Auguste, croyant que madame Récamier pourrait consentir au divorce, lui proposa de l'épouser . Il reste un monument de cette passion dans le tableau de Corinne que le prince obtint de Gérard; il en fit présent

Corinne est donc une tragédie antique, avec cette circonstance moderne, que la tragédie est encore moins dans les événements extérieurs que dans l'âme des personnages, et que les obstacles qui s'opposent

Je déjeunais, selon mes habitudes de garçon, dans un café de la rue du Mont-Blanc. En parcourant les journaux, je lus un article sur la Corinne de M. Gérard, parfaitement écrit, et qui, en faisant l'éloge mérité du tableau, contenait des choses on ne saurait plus flatteuses sur les Italiennes. Je restai vivement frappée, et cédant comme toujours

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