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Dieu vous convoye Si loing, tant que vous revoye Querir, quant? jamais en ma vie. Trop ennuyez, etc. Escollier de Merencolie, Des verges de Soussy batu, Je suis

Enfin, la prise du Neptune, convoyé,

Cette contrebande ne consiste que dans les objets confectionnés pour l'usage des armées. Le blé, par exemple, les munitions navales, n'en sont pas. On ne peut interdire que l'accès d'un port réellement bloqué. Enfin tout bâtiment convoyé ne peut être visité.

Et tout ainsi, qu'assez est avenant A jeunes gens, en l'amoureuse voye De temps passer, c'est aussi mal seant, Quant en amours ung vieil homme folloye; Chascun s'en rit, disant: Dieu qu'elle joye! Ce foul vieillart veult devenir enfant; Jeunes et vieulx du doy le vont monstrant, Mocquerie par tous lieux le convoye.

A Confort dist qu'il me conduye, Car je ne m'en savoye aler, J'avois la veue esbluye, Et ne cessoye de plourer. Confort, me prenant par la main, Hors de la porte me convoye; Car Amour, le Roy souverain, Lui chargea moy monstrer la voye Pour aler je desiroye; C'estoit vers l'ancien manoir en enffance demouroye, Que l'en appelle Nonchaloir.

Dans cette guerre entre gentilshommes, le pis qui pût arriver au vaincu était d'aller prendre sa part des fêtes des vainqueurs, d'aller chasser, jouter en Angleterre, de jouir bonnement de l'insolente courtoisie des Anglais , noble guerre, sans doute, qui n'écrasait que le vilain. Ainsi fut-il convoyé tout le long de la cité de Londres...» Froiss., c.

Pense de toy Dorenavant, Du demourant Te chaille poy. Ce monde voy En empirant. Pense, etc. Dorenavant, etc. Regarde et oy, Va peu parlant; Dieu tout puissant Fera de soy. Pense, etc. Retraiez vous, regart mal avisé, Vous cuidez bien que nulluy ne vous voye; Certes, Aguet par tous lieux vous convoye Priveement, en habit desguisé.

Adieu ma joye, mon plaisir, Adieu mon loyal souvenir, Adieu belle Dame sans per; Adieu dire m'est coup mortel, Car je m'en vois sans vous veoir. J'ay tant, etc. Mon amy, Dieu te convoye, Et brief te remaint

Quant je lui dy: Dieu te convoye, Laisse m'en paix, va t'en ta voye, Par ton enchantement et sort; Gueres mieulx ne vault vif que mort, Je languis quelque part que soye. Ainsi doint, etc. Se vous voulez m'amour avoir, A tousjours, mais sans departir, Pensez de faire mon plaisir, Et jamais ne me decevoir; Bientost sauray apparcevoir, Au par aler, vostre desir. Se vous voulez, etc. A tousjours, etc.

Mercredi 3 août. J'ai été si malade cette nuit, et me trouve si faible ce matin, que, craignant de n'avoir plus la force de m'en aller demain, je pars convoyé par Léon, comme médecin auxiliaire.