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Tout contribuable serbe est tenu de verser, chaque année, 90 kilos de maïs et autant de kilos de blé. Si un cultivateur, par suite d'un accident quelconque, manque de vivres, il lui est livré par les greniers communaux ce qu'il lui faut pour sa nourriture et ses semailles,

Toutes les sources de nos finances deviennent plus fécondes. La perception des contributions indirectes est moins vigoureuse pour le contribuable. On comptait, en l'an 6, cinquante millions en garnisaires et en contraintes, et les recouvremens étaient arriérés de trois ou quatre années. Aujourd'hui on n'en compte que trois millions, et les contributions sont au courant.

D'une part, voici M. A..., contribuable, taxé

Cette combinaison, outre l'avantage de ménager le contribuable, et d'intéresser le comptable

Un contribuable parut, un vieux bûcheron qui paya quatre florins sur douze; puis un autre, qui paya six florins sur dix-sept; puis un autre, deux florins sur treize, ainsi de suite: ils avaient tous donné pour le beau manteau de saint Maclof, et chacun d'eux avait un frère, une soeur, un enfant dans le purgatoire, qui demandait des messes; les femmes gémissaient, levaient les mains au ciel, invoquant la Sainte Vierge; les hommes restaient calmes.

Cette vaste et complète organisation sanitaire dispose d'un budget spécial, qui se compose du revenu de toutes les fondations hospitalières fusionnées en un fonds spécial, d'un impôt spécial de 1 fr. 60 c. par contribuable et de subsides de l'

L'honnête contribuable et sa florissante famille se sont certainement égayés maintes fois du front en forme de dôme du philosophe; ils ont ri de l'étrange perspective du paysage qui s'étend au-dessous de lui.

Le couplet qui suit flatte assez mon esthétique de contribuable: ... Vous aurez alors assuré la sécurité de la patrie sur une base inébranlable, en dépensant seulement vos trésors d'intelligence et de bonne volonté, ce qui sera plus économique pour la France et moins banal que les demandes de crédits.

Au moyen âge, beaucoup de percepteurs tenaient leur comptabilité comme les boulangers de petites villes la tiennent encore de nos jours. Ils avaient pour chaque contribuable deux planchettes sur le tranchant desquelles ils marquaient le nombre des unités reçues, par des entailles. Une des planchettes restait au contribuable comme reçu, l'autre au percepteur comme livre de recette.

La loi de l'emprunt forcé et progressif de cent millions avait eu sur les propriétés des effets plus funestes encore que ceux de la loi des ôtages sur la liberté des citoyens. L'emprunt forcé et progressif pesait sur toutes les propriétés agricoles et commerciales, meubles et immeubles. Les citoyens devaient contribuer en vertu d'une cotte délibérée par un jury, et fondée: sur la quotité de l'imposition directe; sur une base arbitraire. Tout contribuable au-dessous de trois cents francs n'était pas passible de cet emprunt. Tout contribuable qui payait cinq cents francs, était taxé aux quatre dixièmes, celui de quatre mille francs et au-dessus, pour la totalité de son revenu. La deuxième base était relative