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Mis à jour: 24 juin 2025
La protection sociale n'est due qu'aux citoyens paisibles; il n'y a de citoyens dans la République que les républicains. Les royalistes, les conspirateurs ne sont, pour elle, que des étrangers, ou plutôt des ennemis. Cette guerre terrible que soutient la liberté contre la tyrannie n'est-elle pas indivisible? les ennemis du dedans ne sont-ils pas les alliés des ennemis du dehors? les assassins qui déchirent la patrie dans l'intérieur; les intrigants qui achètent les consciences des mandataires du peuple; les traîtres qui les vendent; les libellistes mercenaires soudoyés pour déshonorer la cause du peuple, pour tuer la vertu publique, pour attiser le feu des discordes civiles, et pour préparer la contre-révolution politique par la contre-révolution morale; tous ces gens-l
Aussi, avons-nous abandonné les Marseillais, dès que nous nous sommes aperçus qu'ils voulaient la contre-révolution, et qu'ils se battaient pour des querelles particulières. Le masque est tombé dès qu'ils ont refusé de publier la constitution, nous avons alors pardonné quelques irrégularités
Les royalistes constitutionnels, qui avaient cru pouvoir concilier la liberté et la royauté, ménager l'ancien culte, se trouvèrent cruellement démentis par le roi même et le clergé; ils furent brisés, firent place aux Girondins, qui tuèrent la royauté, aux Montagnards, qui tuèrent le roi, mais qui, par cela même, créèrent dans la sensibilité populaire et dans le coeur des femmes la plus redoutable machine de la contre-révolution: la légende de Louis XVI.
Le comte de Lautrec, député, allant aux eaux de Baréges, s'arrêta au château de Blegnac, et fut bien étonné de se voir arrêté par un décret de prise de corps de la municipalité de Toulouse, sous le prétexte d'une dénonciation de leurs soldats, qui prétendaient que M. de Lautrec, après leur avoir fait part de ses projets de contre-révolution, leur avait proposé de s'engager dans un corps de huit cents hommes, qu'il levait secrètement pour dissoudre la fédération générale et rendre au Roi son autorité. M. d'Amblé démontra en vain l'absurdité d'une pareille dénonciation, et que les infirmités de M. de Lautrec, occasionnées par quinze blessures honorables, lui rendaient les eaux nécessaires. L'Assemblée n'en ordonna pas moins son retour pour rendre compte de sa conduite, sauf
On sait que les représentants du peuple ont trouvé dans les départements des envoyés du comité de salut public, du conseil exécutif, et que ces mêmes envoyés ont semblé, par leur imprudence, manquer de respect au caractère de représentant. Vous voyez que le foyer de la contre-révolution est dans les bureaux de la guerre; il est nécessaire de l'assiéger.
[En marge: Contre-révolution complète
Après les premiers complimens qu'il m'adressa en espagnol avec beaucoup d'aisance, le père Cyrille me demanda quel était le motif qui lui procurait l'honneur de ma visite. Je lui répondis sans détour, qu'ayant vu de très près tous les hommes célèbres de la révolution d'Espagne, je désirais connaître également ceux de la contre-révolution, et que sur le portrait avantageux qu'un de mes amis qui était venu
Robespierre jeune, de son côté, avec non moins de véhémence et d'indignation, signalait «un système universel d'oppression». Il fallait du courage pour dire la vérité, ajoutait-il. «Tout est confondu par la calomnie; on espère faire suspecter tous les amis de la liberté; on a l'impudeur de dire dans le département du Pas-de-Calais, qui méritait d'être plus tranquille, que je suis en arrestation comme modéré. Eh bien! oui, je suis modéré, si l'on entend par ce mot un citoyen qui ne se contente pas de la proclamation des principes de la morale et de la justice, mais qui veut leur application; si l'on entend un homme qui sauve l'innocence opprimée aux dépens de sa réputation. Oui, je suis un modéré en ce sens; je l'étais encore lorsque j'ai déclaré que le gouvernement révolutionnaire devait être comme la foudre, qu'il devait en un instant écraser tous les conspirateurs; mais qu'il fallait prendre garde que cette institution terrible ne devînt un instrument de contre-révolution par la malveillance qui voudrait en abuser, et qui en abuserait au point que tous les citoyens s'en croiraient menacés, extrémité cruelle qui ne manquerait pas de réduire au silence tous les amis de la liberté ....» Voil
Orgie des gardes-du-corps. La contre-révolution secondée par les déesses de la cour. Le peuple meurt de faim. Il va chercher le roi
Ah! je comprends enfin. C'est bien heureux. Les compagnons de Jéhu sont les intermédiaires entre la République et la contre-révolution, les percepteurs des généraux royalistes. Oui; ce n'est plus un vol, c'est une opération militaire, un fait d'armes comme un autre. Justement, citoyen, vous y êtes, et vous voil
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