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Mis à jour: 22 mai 2025
Je lui ai quelquefois servi d'accessoire pour former un groupe. Elle me plaçait dans la position convenable et me drapait avant d'enlever le schall qui, nous enveloppant, nous servait de rideau. Mes cheveux blonds contrastaient avec ses magnifiques cheveux noirs dont elle tirait grand parti. Un jour, elle m'avait placée
Un jeune homme dont les habits de voyage et la tournure aristocratique contrastaient avec ceux des passagers, presque tous marchands d'huile d'olive ou petits négociants côtiers, passa auprès de Laurent, et, l'ayant regardé, lui dit: Tiens! c'est vous!
De la reconnaître, et il ne l'avait jamais vue! Mais Henriette avait eu trop raison, plus raison qu'elle ne le savait elle-même. Il avait devant lui, ressuscitée et vivante, sa soeur Julie, telle que le portrait effacé la lui représentait, telle surtout qu'il la gardait dans les visions de son souvenir. Adèle Raffraye, car il n'hésita pas une seconde sur l'identité de la petite fille, se tenait debout, appuyée contre le tronc d'un grand eucalyptus tout décortiqué, aux feuilles longues et comme vernissées. Auprès d'elle, sa poupée, la poupée malade, était assise sur une chaise et montrait de grosses joues dont les vives couleurs contrastaient comiquement avec les divers fichus qui enveloppaient sa poitrine de porcelaine. Sur une autre chaise, une bonne âgée, Annette sans doute, travaillait
On l'appelait: la Barbe-Bleue, attendu que sa barbe était rousse; aussi ce n'était point sans quelque appréhension qu'il avait épousé sa Suzanne, jeune blonde de seize ans, riche et volontaire. Il convenait qu'elle était trop jolie, et pour bien faire, il lui passait bien des caprices d'enfant gâté, qui contrastaient avec le ton grave et sérieux d'un homme de l'âge où l'on n'est plus jeune.
Bien plus que Camille Desmoulins, dont on regrette les écarts, les Girondins étaient les païens de la Révolution Française. Leurs goûts, leur manière de vivre, qui, dans d'autres circonstances, n'auraient rien eu de très-blâmable, contrastaient beaucoup trop avec les sacrifices que s'imposait alors la nation tout entière. Les dures époques exigent des vertus rigides.
Un frémissement d'horreur circula parmi les auditeurs de ce récit; ces moeurs royales contrastaient d'une manière si effrayante avec les moeurs des habitants de la colonie, que ces bonnes gens croyaient entendre raconter quelque songe épouvantable éclos dans le délire de la fièvre.
La chambre était rustique, froide, et propre. Le petit carré de tapis placé devant le canapé, le dessus en velours de la cheminée avec son énorme pendule et ses vases qui contenaient de gros bouquets de fleurs artificielles contrastaient pourtant un peu avec le reste de l'ameublement. L'aspect général de la chambre était celui d'une laiterie transformée en un salon.
Il se taisait, lorsque, en se retournant, il aperçut une ombre, qui revenait le long de la haie. Le voici, dit-il. C'était, en effet, le capitaine Beaudoin. Il les étonna tous par la correction de sa tenue, son uniforme brossé, ses chaussures cirées, qui contrastaient si violemment avec le pitoyable état du lieutenant.
Magnifiquement drapés, ils contrastaient avec les bustes rangés sur les deux côtés de l'allée qu'ils avaient prise, et qui, perchés sur leurs hautes colonnettes, grêles dans l'air vide, exilés de leur milieu, de l'entourage dans lequel ils auraient rappelé sans doute de grands travaux, une affection tendre, une existence remplie et courageuse, faisaient la triste mine de gens fourvoyés, très penauds de se trouver l
Elle m'établit dans un corps de logis, situé derrière la machine de Marly, dont le bruit lamentable m'ennuyait fort. Dessous mon appartement, se trouvait une galerie fort peu soignée, dans laquelle étaient placés, sans ordre, des bustes, des vases, des colonnes, des marbres les plus rares et une quantité d'autres objets précieux; en sorte qu'on aurait pu se croire chez la maîtresse de plusieurs souverains, qui tous l'avaient enrichie de leurs dons. Ces restes de magnificence contrastaient avec la simplicité qu'avait adoptée la maîtresse de la maison, et dans sa toilette, et dans sa façon de vivre. L'été comme l'hiver, madame Dubarry ne portait plus que des robes-peignoirs de percale ou de mousseline blanche, et tous les jours, quelque temps qu'il fît, elle se promenait dans son parc ou dehors, sans qu'il en résultât aucun inconvénient pour elle, tant le séjour de la campagne avait rendu sa santé robuste. Elle n'avait conservé aucune relation avec la nombreuse cour qui pendant longtemps l'avait entourée. L'ambassadrice de Portugal, la belle madame de Sousa, et la marquise de Brunoy étaient, je crois, les deux seules femmes qu'elle vît alors, et durant mes séjours chez elle, que j'ai faits
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