United States or Bolivia ? Vote for the TOP Country of the Week !


Après cet informe essai d'histoire générale de la France, dont Nicholas pourroit bien être, après tout, seulement le copiste et non l'auteur, Villehardoin composa son admirable relation du voyage de Constantinople, Guillaume de Tyr écrivit l'histoire de la guerre sainte et vit sans doute une partie de la belle traduction françoise qu'on en fit immédiatement. Mais avant un nouvel essai d'histoire générale il faut attendre un demi-siècle. C'est le ménestrel anonyme de l'un des frères de Saint-Louis, Alphonse, comte de Poitiers, qui d'abord entre dans la lice, et je ne sais même si l'on ne doit pas le considérer comme le premier rédacteur de ce qu'on a depuis appelé les Chroniques de Saint-Denis. Il est, du moins, certain que son début est le modèle que suivirent plus tard les autres traducteurs. Il semble même qu'ils se soient contentés d'étendre le réseau qu'avoit d'abord tressé le vieux ménestrel; supprimant les passages dont leurs intercallations ne pouvoient plus s'accommoder, mais respectant toutes les anciennes réflexions et même assez volontiers les contre-sens de la traduction primitive. La Bibliothèque royale a le bonheur de posséder deux leçons de ce précieux travail, le plus ancien est inscrit sous le10298, et l'arbre chronologique des rois de France qui remplit les premiers feuillets et s'arrête

Les petites filles ont un désir naturel de cueillir des fleurs et des étoiles. Mais les étoiles ne se laissent point cueillir et elles enseignent aux petites filles qu'il y a en ce monde des désirs qui ne sont jamais contentés. Mlle Marie s'en est allée dans le parc avec sa nourrice; elle a rencontré une corbeille d'hortensias et elle a connu que les fleurs d'hortensia étaient belles; c'est pourquoi elle en a cueilli une. C'était très difficile. Elle a tiré la plante

LA GUÊPE. Quoi qu'en disent les fleurs, elles ne sont jamais si contentes que quand on leur fait des compliments. Nous avons donné des exemples qui suffiront

«Mais comment, a dit M. de Bulow, nous payons et nous payons tout, et Sa Majesté Impériale ne nous demande que cela.» «Elle vous demande de payer sur-le-champ le mois tout en entier, tous les mois suivants en entier.» «Mais payer sur-le-champ l'arriéré serait impossible, sans faire manquer les services suivants et encourir de nouveau le mécontentement de l'Empereur.» «Puisqu'il ne s'agit que d'un million, pourquoi ne l'empruntez-vous pas, et même provisoirement sur les budgets des ministères?» «Nous ne pouvons pas emprunter, personne ne veut nous prêter; et emprunter sur les budgets des ministres ce serait désorganiser tous les services.» «Sa Majesté l'Empereur vous a fait déclarer, dès le mois d'avril, que le trésor public de France ne ferait aucune avance pour cette dépense. En laissant en arrière un million ce serait donc le trésor public de France qui serait obligé de faire l'avance. Croyez-vous que Sa Majesté Impériale reviendra sur une détermination qu'Elle a prise?» «Le trésor de France n'aura besoin de faire aucune avance. Les troupes ont reçu la moitié de leur solde échue. Elles vont recevoir la solde entière des mois suivants: elles sont logées, nourries, habillées; un arriéré de la solde de six mois et plus est presque d'usage, même en France. Je vous proteste que les troupes sont et seront contentes.» «Enfin, M. le comte, c'est

Je dis, contentes, mais avec ça je voyais que mon oncle, depuis quelque temps, avait quelque chose qui le tracassait plus fort. Chez nous, il ne le donnait pas

Es-tu mon amant? Oui! je suis ton amant! je le suis! Vraiment! tu te contentes de peuElle éclata de rire. J’avais pâli de nouveau. «Concha, mon enfant, dis-moi, parle-moi, tu en as un autre. Si tu es

Cette infériorité faisait, de Gobe-la-lune, le souffre-douleur, le martyr de l'endroit. Les femmes, non contentes des féroces mystifications qu'elles lui faisaient subir toute la journée, se donnaient le mot pour la livrer, histoire de rire, aux ivresses les plus mauvaises, aux amours les plus inclémentes.

Les Anglais ne se sont pas contentés de couper une arche du pont de l'Ezla, ils ont aussi fait sauter les piles avec des mines, dégât inutile, qui est très-nuisible au pays. Ils se sont livrés partout au plus affreux pillage. Les soldats, dans l'excès de leur perpétuelle intempérance, se sont portés

Tous les gouvernements, quelle que soit leur nature, peuvent marcher quand un grand esprit de justice et une grande habileté caractérisent les dispositions du pouvoir. En gouvernant bien, les masses sont contentes et les révolutions s'éloignent.

Et toi, mon père, tu te laisses mener par eux, charmé de leurs paroles. Ils extorquent aux villes des cinquantaines de talents, les effrayant de leurs menaces et de leurs cris: «Payez le tribut, ou je tonne et je foudroie votre villeEt toi tu te contentes de grignoter les résidus de ton pouvoir. Les alliés, remarquant que le reste de la foule vit maigrement de lécher les assiettes et de mâcher