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Mis à jour: 8 mai 2025


J'ay essayé toute ma vie Qu'est de porter amoureux faiz, Pourquoy congnois, sans moquerie, Il me vault mieulx tenir en paix. J'ay tant en moy de desplaisir, Puisqu'il me convient departir, Helas! de vous, et loing aller: Et si ne puis

Je n'ay deffaulte que de veue, Et ne congnois riens qu'

Portant harnois rouillé de nonchaloir, Sus monteure foulée de foiblesse, Mal abillé de desireulx vouloir, On m'a croizé, aux montres de liesse, Comme cassé des gaiges de jeunesse; Je ne congnois je puisse servir, L'arriere ban a fait crier Vieillesse, Las! fauldra il son soudart devenir?

Comme gallathee dit qu'elle apperçoit bien la cautelle de la vieille. Pamphille dy luy hardiement Comme tout va tu feras bien Il semble qu'el n'en saiche rien Et si sçait tout entierement Je voy et congnois clerement Qu'el demande ce qu'elle sçait Et si cuyde certainement En son mauldit entendement Abuser les gens tellement Que personne ne l'apperçoit

Le monde est ennuyé de moy, Et moy pareillement de lui; Je ne congnois rien aujourdui Dont il me chaille que bien poy. Dont quanque devant mes yeulx voy, Puis nommer anuy sur anuy. Le monde, etc. Et moy, etc. Chierement se vent bonne foy, A bon marché n'en a nulluy; Et pour ce, se je suis cellui Qui m'en plains, j'ay raison pourquoy. Le monde, etc.

Par mon cueur je congnois pieca Ce mestier, car quant il souspire, Jamais rapaisié ne sera, Tant qu'il ait envoyé de tire Vers la belle que tant desire; Et puis s'il peut aucunement Oir nouvelles seulement De sa doulce beaulté sans per, Il oublie l'ennuy qu'il sent, Pour bien et loyaument amer.

Je ne me peuz oncques tenir Que son nom ne luy demandasse Luy priant par son bon plaisir Mais qu'il n'en eust point desplaisir Que son nom de luy emportasse Il le m'accorda de sa grace Disant je vous congnois assez Et veulx bien que me congnoissez

Tousjours dictes: Je vien, je vien; Espoir! je vous congnois assez, De voz promesses me lassez, Dont peu

Quant je congnois que vous estes tant mien, Et que m'aymez de cueur, si loyaument, Je feroye vers vous trop faulcement Se, sans faindre, ne vous amoye bien; Essayez moy se vous fauldray en rien, Gardant tousjours mon honneur seulement. Quant, etc. Et que, etc.

Que je vous ayme maintenant ! Quant je congnois vostre maniere Venant de voulenté legiere, Enveloppée en faulx semblant. Je ne m'y fie tant, ne quant, Veu qu'en estes bien coustumiere. Que je vous, etc. Quant je, etc. N'en peut chaloir, tirez avant, Parfaictes comme mesnagiere, De haulte lisse bonne ouvriere; Plus vous voy, plus vous prise tant. Que je vous, etc.

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