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Mis à jour: 18 juin 2025


Tel est, vers 1795, le royalisme de Chateaubriand. Et tel il sera toujours, même sous la Restauration: «Un triomphe de sa raison sur son penchantAu deuxième volume de l'Essai, l'auteur reprend infatigablement ses inutiles parallèles. Mais les boutades, les poussées d'humeur, les confessions directes ou indirectes deviennent de plus en plus nombreuses.

Le reste est connu, et l'on a raison de dire avec M. Gaullieur que «cette avant-scène de la biographie de Benjamin Constant est la seule dont il soit piquant aujourd'hui de s'enquérir: elle forme, dit-il, comme une contre-épreuve de la première partie des Confessions de Jean-Jacques. C'est le même sol et le même théâtre; ce sont d'abord les mêmes erreurs et les mêmes agitations, presque les mêmes idées, mais passées

Et rien n'est plus joli que l'idylle si timidement ingénue de l'enfant et de la petite bohémienne Nazzarena qui s'en va, un matin, sans se retourner, sur la, route, dans un soleil qui ne s'oubliera plus. On croirait lire un chapitre inédit des Confessions, retrouvé, reconstitué dans toute sa limpide fraîcheur.

Moi, j'ai entrepris un ouvrage de longue haleine, intitulé Histoire de ma vie. C'est une série de souvenirs, de professions de foi et de méditations, dans un cadre dont les détails auront quelque poésie et beaucoup de simplicité. Ce ne sera pourtant pas toute ma vie que je révélerai. Je n'aime pas l'orgueil et le cynisme des confessions, et je ne trouve pas qu'on doive ouvrir tous les mystères de son coeur

Avec tout cela, les Mémoires d'outre-tombe sont un des monuments les plus éclatants et les plus vastes de notre littérature. C'est fait d'autobiographie, de souvenirs personnels, de confessions, d'anecdotes, de portraits, de lettres, de morceaux d'histoire, de descriptions, d'impressions de voyage, de rêveries. La composition en est large et libre, mais cependant attentive et savante. Il a eu tout le loisir de la surveiller. Il commence ses Mémoires, dit-il, en octobre 1811, au lendemain de la publication de l'Itinéraire,

Jean-Jacques, disait une femme spirituelle qui se croyait en droit d'accuser ce moraliste de quelque indiscrétion, Jean-Jacques peut bien faire ses confessions, mais devait-il faire les confessions d'autrui?

Il confesse ses amours, mais il ne le fait point avec grâce parce qu'il le fait avec honte. Il ne parle que des «pestilences» et des «vapeurs infernales qui sortaient du fond corrompu de sa cupidité». Rien de plus moral, mais rien de moins élégant. Il n'écrit point pour des curieux; il écrit contre les manichéens. Cela me fâche doublement, parce que je suis curieux et un peu manichéen. Mais, telles qu'elles sont, pleines de l'horreur de la chair et du dégoût de l'existence terrestre, les Confessions d'Augustin ont contribué plus que tous les autres livres de ce saint

Il lui restait donc cet éternel recours en grâce que la prière ouvre devant le Seigneur. Les fêtes de Pâques de l'année 1783 approchaient. C'était dans la nuit du jeudi au vendredi saint. J'avais, dans la journée du jeudi, entendu grand nombre de confessions, et, vers huit heures du soir, je m'étais trouvé tellement fatigué, que je m'étais endormi dans le confessionnal.

Ce n'est pas lui qui eût écrit ses Confessions, comme Rousseau, parce que, dit celui-ci, «sentant que le bien surpassait le mal, j'avais mon intérêt

Nous les attendions dans leurs villages ... entre quatre murs ... ils venaient quelquefois la nuit pour faire cuire le pain ... car, voyez-vous, sergent ... il faut un four pour cuire du pain.... Alors nous leur mettions la main sur la nuque, et nous les confessions ... tout doucement ... vous comprenez.... Oui, caporal, mais nous ne sommes pas en pays ennemi....

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