Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 31 mai 2025


Mais si les colonies différaient sous ces rapports, elles se ressemblaient sous d'autres. Ainsi toutes étaient divisées en communes qui formaient le comté, en comtés qui formaient l'

Colonel! s'écrièrent les Hommes Rouges menaçants. Lavenay surtout ne se contenait plus. Colonel, dit-il avec hauteur, vous oubliez que, avant d'être officiers, nous sommes gentilshommes, et que, si les subordonnés doivent écouter vos mercuriales sans murmurer, le chevalier de Maurevailles, les comtes de Lacy et Lavenay ont le droit d'exiger plus d'égards.

Très noble empereur, lui répondit Jean, ne sais-tu pas que le roi Charles a juré sur le Christ de t'enlever ta couronne, de te tuer toi et les tiens, comme il a tué le noble roi Manfred et le gentil seigneur Conradin, et qu'en conséquence, avant qu'il soit un an, il va se mettre en route pour conquérir ton royaume, avec cent vingt galères armées, trente gros vaisseaux, quarante comtes et dix mille cavaliers, et une foule de croisés chrétiens?

On donna des ducs aux provinces pour recevoir les appels des jugements des comtes, et commander en guerre les hommes des villes et des campagnes. On fit un grand référendaire pour rapporter au roi les affaires générales et mettre le sceau

«Il y avait en Hongrie, dit le poëme, un roi bien connu qui se nommait Attila: on ne trouvera jamais son pareil. En richesse et en libéralité, nul ne l'égala jamais. Douze rois le servaient couronne en tête; douze royaumes lui obéissaient, douze ducs, trente comtes, des chevaliers, des écuyers, des hommes d'armes sans nombre. Ce roi était humain et juste: on ne trouvera jamais son pareil !

Le poëte nous dit que nul n'osa partir, ni ducs, ni comtes, ni chevaliers, tant le nom de Walter inspirait de frayeur; mais un autre récit traditionnel fait foi qu'il se trouva douze guerriers déterminés qui se mirent en route au grand galop de leurs chevaux.

La Justice se rendait ordinairement par les Comtes nommés par le Roi. Ils avaient leurs districts assignés. Ils devaient être instruits des Lois, qui n'étaient ni si difficiles ni si nombreuses, que les nôtres. La procédure était simple, chacun plaidait sa cause en France et en Allemagne. Rome seule et ce qui en dépendait, avait encore retenu beaucoup de Lois et de formalités de l'Empire Romain.

La mortalité qui dépeuplait le royaume lui donna au moins un bel héritage. Le jeune duc de Bourgogne mourut, ainsi que sa soeur; la première maison de Bourgogne se trouva éteinte: la succession comprenait les deux Bourgognes, l'Artois, les comtés d'Auvergne et de Boulogne. Le plus proche héritier était le roi de Navarre. Il demandait qu'on lui laissât prendre possession de la Bourgogne, ou au moins de la Champagne qu'il réclamait depuis si longtemps. Il n'eut ni l'une ni l'autre. Il était impossible de remettre ces provinces

Qu'il soit fait donc comme vous le désirez. Un de mes amis, un de mes amis, entendez-vous bien! pas moi, dit Athos en s'interrompant avec un sourire sombre; un des comtes de ma province, c'est-

A elles il adresse son poème, et s'écrie: "O Christ, quelle douleur pour moi que de dire combien de nobles comtes et de valeureux "chevaliers sont bravement tombés en combattant pour le roi Harold dans la plaine" d'Hastings." "O mer! mer féconde et bienfaisante! comment, avec ton intelligence puissante, n'as-tu "pas soulevé le flux de tes eaux contre les chevaliers du duc Wylliam ?"

Mot du Jour

n'usait

D'autres à la Recherche