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Mis à jour: 31 mai 2025
L'accent de la jeune fille avait une telle fermeté que le P. Dámaso réfléchit. Tu l'aimais donc tant? demanda-t-il en balbutiant. Maria Clara ne répondit pas. Fr. Dámaso inclina la tête sur sa poitrine et resta silencieux.
M. Mérimée ne trouvera donc pas mauvais que nous le déclarions ici l'auteur du Théâtre de Clara Gazul et de la Guzla, et que nous cherchions même
Dans le groupe des femmes, Maria Clara était l'objet des murmures de toutes. La jeune fille les avait saluées et reçues cérémonieusement, sans perdre son air de tristesse. Bah! disait l'une; petite orgueilleuse... Assez jolie! reprenait une autre, mais il aurait pu en choisir quelqu'une qui ait la figure plus intelligente. Et l'argent, ma petite, le bon garçon se vend.
On commentait aussi l'arrivée de Maria Clara accompagnée de la tante Isabel. On s'en réjouissait parce qu'on l'aimait, mais en même temps que l'on admirait sa beauté on s'étonnait aussi des changements qui survenaient dans le caractère du P. Salvi. «Il a des distractions nombreuses pendant le saint sacrifice; il ne nous parle presque plus;
Maria Clara joignit les mains et, les yeux humides, contempla les restes de ce livre qui l'avait faite si heureuse.
Pour tromper l'impatience de ceux qui désiraient voir comment les poissons, vivants et frétillants, sortiraient de leur prison, Iday prit la harpe; non seulement elle touchait très bien de cet instrument mais de plus elle avait une très jolie main. La jeunesse applaudit, Maria Clara l'embrassa; la harpe est l'instrument dont on joue le plus dans cette province, surtout dans ces occasions.
C'est une bénédiction que ce souvenir de Clara qui vient le surprendre en pleine étude, pour l'encourager et lui apporter un parfum de liberté et de tendresse. Victor se cache la tête dans son pupitre pour baiser l'adresse zigzagante, péniblement tracée, tremblée, comme si un perpétuel tangage de bateau balançait la table sur laquelle Clara écrit.
Lorsque, devenue comtesse d'Adembrode, Clara Mortsel s'éprit de la nature campinoise, parfois le décor oublié de sa première enfance, écoulée dans une autre région rurale, revenait
«Tenez, dit Herbert, en me montrant le panier, avec un sourire tendre et compatissant; voici le souper de la pauvre Clara, qu'on lui sert tous les soirs. Voici sa ration de pain et sa tranche de fromage, et voici son rhum que je bois. Voici le déjeuner de M. Barley pour demain, il est tout prêt
Herbert m'avait dit, dans une première occasion, et me rappela alors, qu'il avait d'abord connu miss Clara Barley quand elle terminait son éducation dans une pension d'Hammersmith, et que, lorsqu'elle avait été rappelée
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