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Mis à jour: 25 juillet 2025
Nous parlons avec Daudet, du mensonge, du mensonge cynique du journalisme contemporain, où les journaux font aujourd'hui de Cladel, un écrivain de la taille de Flaubert, quand aucun de ces journaux vantards de son talent, ne voulait hier de sa copie. Mardi 26 juillet. Dîner avec les ménages Zola et Charpentier.
Jeudi 18 mai. Leconte de Lisle dîne chez Daudet. Il est en vérité joliment méchant. Il comparait l'œuvre de Cladel
Ce sont des tableaux de la vie pastorale, et je vous les dédie, cher poète; j'y parle de la nature, que vous aimez, des grands horizons, des filles brunes et des moissons blondes, et aussi des primitifs et naïfs amours, chantés dans vos Poèmes Rustiques, et que votre compatriote et notre ami Léon Cladel a jetés, comme des fleurs sauvages, sur le socle de granit de ses rudes Paysans.
Aujourd'hui Cladel dînant chez Daudet, est causeur, est anecdotier, avec une jolie et gaie dose de malice paysanesque. Il nous parle de son intimité avec Gambetta, et des dîners, que la tante Massabie faisait, tous les dimanches, chez sa mère.
Notre plume n'a point autorité pour faire ici la biographie de l'auteur qui s'est taillé une large place dans la littérature française; nous rappellerons seulement Le Roman du Curé et l'Homme qui tue, ces deux ouvrages qui, du premier coup, comme l'a dit Léon Cladel dans une remarquable préface, placèrent Hector France au rang des écrivains de race.
Je ne me rappelle pas avoir jamais eu, du temps que j'étais critique, l'occasion d'apprécier un roman rustique offrant la moindre ressemblance de facture avec le Moulin du Frau. Le Marquis des Saffras, de La Madelène, les Païens innocents, de Babou, non plus que le Chevrier, de Fabre, et le Bouscassié, de Cladel, ne sauraient lui être comparés.
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