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Note 329: Ici commence l'ouvrage de Guillaume de Nangis; mais, dans ce qu'il en emprunte, notre chroniqueur n'a pas suivi la traduction ancienne publiée

Sans doute il n'a pas voulu, près d'une si belle tache de sang, mettre une tache de boue. Mais ce qu'il y a de certain, c'est qu'aucun historien, aucun chroniqueur, aucun contemporain, ne parle de Mme de Beaurepaire. Je crois avoir rencontré les seules lignes qui aient été écrites sur elle dans une brochure intitulée Les réminiscences du roi de Prusse.

Les bourgeois refusèrent; ils offrirent au roi de France, comme dernière concession, l'entrée pacifique, tête nue, lance haute, et bannière royale seule déployée. Le roi commença le blocus; ce blocus dura trois mois, pendant lesquels, dit le chroniqueur, les bourgeois d'Avignon rendirent aux soldats français flèches pour flèches, blessures pour blessures, mort pour mort. La ville capitula enfin.

M. Wolff est, pour un très grand nombre de Français, le chroniqueur parisien par excellence. Il se pique lui-même de représenter, par une grâce spéciale d'en haut, l'esprit du boulevard. Il a fait de Paris sa chose; il célèbre, il démontre, il encourage Paris; il est le gardien de ce lieu de plaisir. Les titres de ses volumes marquent bien cette préoccupation: l'

Quelquefois, il est vrai, Gourgaud note que l'Empereur semble froid ou mal disposé. Mais on en aperçoit généralement la cause dans quelque nouvelle grave qui l'absorbe, ou dans quelque incartade du chroniqueur lui-même, ou dans une allusion qu'il a laissé tomber. D'ailleurs, ces occasions sont rares, et nous les devinons simplement par l'impression malveillante de Gourgaud, non par quelque preuve matérielle de la colère impériale. Il y a, pendant les derniers jours, certain malentendu qui ne vaut la peine d'être remarqué que parce qu'il montre

[Note 295: Rien de plus romanesque et toutefois de plus vraisemblable que le tableau du chroniqueur sicilien, lorsque le froid Aragonais se hasarda

Notre chroniqueur, qui se règle ici sur Joinville, n'a pas bien reproduit le texte de son modèle. Joinville dit qu'il donna cette maison aux Frères Augustins. Elle étoit près de la porte Montmartre et de la rue dite plus tard de la Jussienne. Les Augustins y restèrent jusqu'au moment ils acquirent la maison des Frères Sachets ou des Sacs.

Note 438: Jehan de Belin, et mieux d'Ibelin. Mais notre chroniqueur entend mal ici le texte latin de Nangis qu'il traduit. Il falloit dire avec celui-ci: «A monseigneur Henry....,

La voix gutturale se tut, et mon oncle Bernard, plus mort que vif, exhalant un soupir plein de terreur, murmura: «Seigneur Dieu!... ayez pitié d'un pauvre chroniqueur qui n'a jamais fait de mal... ne le laissez pas mourir sans absolution... loin des secours de notre sainte

Mais attendre sur un trottoir venu de Sodome, en plein milieu de la retape électorale, dans le voisinage immédiat de l'Américain ou de Tortoni, avec la crainte ridicule de mettre le pied dans la figure d'un premier ministre ou d'un chroniqueur, c'est décidément au-dessus des forces d'un homme!