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Mis à jour: 22 juin 2025
Dévouement? dit Christine en souriant; ce n'était pas du dévouement: c'était l'affection, la reconnaissance la plus tendre et la mieux méritée; je n'y avais aucun mérite; j'aimais toi et mon père parce que vous avez été toujours pour moi d'une bonté constante, si pleine de tendresse, que je m'attendrissais en y pensant... Mais pourquoi, mon père, ne m'avez-vous pas dit ou écrit ce que faisait notre bon Paolo pour mon cher François?
Le pauvre Paolo regarda M. de Nancé d'un air sombre et ne répondit pas; il ne parla plus jusqu'au retour au château. Les enfants restèrent un peu en arrière pour ne pas se trouver trop près de ce Paolo qui inspirait aux petites filles une certaine terreur. Qu'est-ce qu'il disait donc des Autrichiens? demanda Christine. Il avait l'air si en colère.
François embrassa sa bonne, qui les regardait avec tendresse, et, prenant la main de Christine, ils coururent tous deux chez M. de Nancé qui écrivait en attendant François. Bonjour, mon bon cher papa, dit François en lui passant les bras autour du cou. Il se sentit en même temps embrassé de l'autre côté, et deux petits bras entourèrent aussi son cou. C'était Christine, qui faisait comme François.
Attendez qu'il ait vingt ans, et nous verrons lequel sera le plus grand et le plus beau de vous deux. Ha, ha, ha! quelle niaiserie? attendre huit ans! Christine, rouge et irritée, allait répondre, lorsque François l'arrêta. Laisse-les dire, ma chère Christine! Ces pauvres garçons ne savent ce qu'ils disent: ne te fâche pas, ne me défends pas. Quel mal me font-ils? Aucun.
Mais, dès le lendemain, Christine dut se remettre nue, dans l'air glacé, sous la lumière brutale. N'était-ce pas son métier, désormais? Comment se refuser,
Je ne peux pas la reprendre, Monsieur de Nancé; que ferais-je d'une grande fille comme Christine? Je ne saurais pas m'en occuper, la diriger; elle courrait risque d'être fort mal élevée. M. DE NANC
Christine était assise au coin de la cheminée, dans un grand fauteuil; Maïa, toujours
Georges se retourna: il aperçut au loin un petit point noir, immobile d'abord, qui grossit en se rapprochant lentement, puis enfin dévora l'espace en devenant de plus en plus distinct. C'était le traîneau de Christine.
Et ce pauvre major? un grand cœur, ma Christine! mais je ne suis pas assez éloquente pour plaider les causes perdues! en voil
Monsieur de Nancé!... cher Monsieur de Nancé, vous êtes si bon, que vous voudrez bien, j'en suis sûre, compléter votre obligeance en prenant Christine aujourd'hui même; j'ai tant
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