Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 13 juin 2025
Dis donc, mon gars, demanda le gentilhomme, sais-tu pourquoi on tire le canon? Oui, que je le sais, répondit l'enfant. Pourquoi alors? C'est pour les aristocrates, les chouans, les brigands! On se bat donc! Eh non! c'est la prière du soir, comme dit le citoyen Carrier. Marcof et Boishardy se regardèrent. Quelque nouvelle infamie! murmura le marin.
Les Chouans se resserrèrent, enveloppant le monceau de morts et les quelques vivants plus ou moins blessés qui s'agitaient au milieu des cadavres. Se rendre, c'était encore combattre dans cette guerre, où, de part et d'autre, on fusillait les prisonniers: d'un côté, parce qu'on regardait Chouans et Vendéens comme des brigands; de l'autre côté, parce qu'on ne savait où les mettre.
Si en conséquence des ordres du général Brune, le général Guidal est parti pour Vannes, le général Chambarlhac prendra le commandement du département de l'Orne. Il se mettra en correspondance avec les généraux qui seraient restés dans la Sarthe et la Mayenne. M. Bourmont qui commande les chouans dans ce département, a accédé
C'était vrai, hélas! D'où était venue cette dénonciation? De Deutz, sans doute; de Deutz, pour nous et pour eux; car les chouans ne pouvaient pas hésiter
Eh bien, il nous est recommandé par nos frères du midi; que sa vie vous soit sacrée; on peut le prendre, mais vivant et sans qu'il tombe un cheveu de sa tête. C'est bien, général, répondirent les Chouans. Et, maintenant, mes amis, souvenez-vous que vous êtes les fils de ces trente Bretons qui combattirent trente Anglais entre Ploermel et Josselin,
Les chouans ne tenaient plus la campagne; le chef réel, c'est-
Cependant le moment de terminer cette lutte grandiose était venu. Le marquis de Kardigân comprit qu'ils ne pouvaient plus tenir que peu d'instants dans ce château miné par les flammes. Il fit cesser la moitié de la fusillade. Une partie des chouans devait tirer, pendant que l'autre partie prendrait part au conseil. Les clairons sonnaient toujours. Il n'y avait pas
Le bruit de ce massacre fut bientôt entendu des victimes qu'on devait frapper. Les unes sortirent de Paris; les autres s'armèrent, et firent des dispositions pour vendre chèrement leurs vies. Le gouvernement, assure-t-on, eut connaissance des projets homicides des Chouans, et épargna
Le pire est que ce genre de supplice n'inspire aucune pitié. On sut bientôt par un ancien chef de bataillon destitué, nommé Harrel, que ni les émigrés ni les chouans n'étaient pour rien dans la conspiration d'Aréna. Cette découverte rendit le gouvernement moins sévère et moins surveillant envers le parti royaliste, prévention négligente qui faillit coûter la vie au premier consul.
Le tambour battant la charge annonçait en même temps la rapide arrivée d'un nouveau renfort. Marcof et Boishardy comprirent que la lutte allait devenir impossible, et qu'il fallait forcer le passage coûte que coûte. Le marin fit entendre le cri de ralliement des chouans. Aussitôt Fleur-de-Chêne arrêta l'élan de ses hommes. Les soldats de garde, décimés, se replièrent sur les sans-culottes.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche