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Je n'oublierai jamais le jour je partis de grand matin d'Auray, la ville sainte des chouans, pour visiter,

Les chouans se cachaient, au nombre de quinze ou vingt, dans un fourré; une compagnie de ligne ou un demi-escadron de cuirassiers passait, aussitôt deux, trois, quatre décharges successives partaient et couchaient dans la poussière les soldats. D'autres fois, des forces vendéennes, plus fortes qu'on aurait pu le croire, se portaient tout

D'ailleurs, vous ne pourriez rien sans moi. Vous êtes trop faible. Fernande ne répondit rien. Elle sortit de la chaumière et marcha droit au campement des chouans. On la connaissait. La touchante histoire d'amour de ces deux êtres avait ému ces cœurs doux comme le sont tous les cœurs braves. Je voudrais une charrette et un cheval, dit-elle

Les chouans qu'ils rencontrèrent sur leur chemin témoignaient toujours au jeune paysan ce même respect qui avait tant frappé mademoiselle Grégoire.

... Entrons dans cette salle du premier étage les chouans avaient eu leur réunion.

Il avait perdu un quart de son monde. Les chouans,

Vers le milieu du mois de juillet, si nous y entrons en pleine nuit, nous saurons pourquoi les soldats n'avaient plus trouvé de chouans sur leur chemin. Tous ceux qui pouvaient encore porter les armes, tous ceux que les travaux de la terre n'avaient pas forcés de rentrer chez eux, y étaient réunis, sous le commandement de M. de Charette et du marquis de Kardigân.

Les trois chouans attaquaient, ivres de vengeance et de colère. Les cris et le choc des armes, le bruit des meubles brisés, celui des corps tombant lourdement sur le sol, le râle des mourants, tout cela formait un vacarme effrayant, rendu plus lugubre encore par le silence qui régnait au dehors.

La belle garde nationale vint au-devant de nous, et ce fut de la joie pour la ville de voir un bon vieux régiment prendre garnison. Les murs de la caserne étaient encore teints du sang des victimes qui avaient été égorgées par les chouans, et on nous mit, pendant deux mois, chez le bourgeois, nous fûmes reçus comme des frères. On répara la caserne, je restai un an.

LOUISE. Va-t'en ou tue-moi tout de suite, si tu veux! J'ai horreur de la vie, j'ai horreur de toi, de Saint-Gueltas et de moi-même! ROXANE. Les chouans ont le dessus, tout est perdu, Louise! LOUISE, égarée. Qu'importe? LA KORIGANE. Venez! je peux vous cacher! LOUISE. Emmenez ma tante: moi, je veux mourir ici! LA KORIGANE. Venez, Louise, venez! LOUISE. Non!