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C'est dans le cimetière de cette église qu'eut lieu la première opération de la pierre. «Au mois de janvier, dit Sainte-Foix, les médecins et chirurgiens de Paris représentèrent

Désastres de la bataille d'Essling. Murmures des soldats. Apostrophes aux généraux. Patience courageuse. Intrépidité du maréchal Masséna. Bonheur continuel. Zèle des chirurgiens de l'armée. Mot de l'empereur. M. Larrey. Le bouillon de cheval. Soupe faite dans des cuirasses. Constance des blessés. Suicide d'un canonnier. Le vieux concierge allemand. La princesse de Lichtenstein. Le général Dorsenne. Bonne chère et linge sale. Lettre outrageante

Je dois ici des remerciements publics aux citoyens Millioz, chirurgien de première classe, Dieche, du corps des guides, Zink, et Leclerc, chirurgiens de seconde classe, pour le zèle affectueux avec lequel ils me secondèrent dans différentes occasions.

MM. Bob Sawyer et Ben Allen, après avoir fait banqueroute, passèrent ensemble au Bengale comme chirurgiens de la compagnie des Indes. Ils ont eu, tous les deux, la fièvre jaune jusqu'

On y passait la journée du samedi, la matinée du dimanche, et en attendant son tour on parlait nouvelles, politique, littérature. «Tout cela est bien changé! s'écrie Restif. A-t-on bien fait de séparer les barbiers des chirurgiens? Est-ce qu'il est bas de raser? Pas plus que de saigner

Une perte qui a sensiblement affecté l'empereur est celle du général Château. Ce jeune officier, qui donnait les plus grandes espérances, a été blessé mortellement sur le pont de Montereau, il était avec les tirailleurs. S'il meurt, et le rapport des chirurgiens donne peu d'espoir, il mourra du moins accompagné des regrets de toute l'armée, mort digne d'envie et bien préférable

Elles ne se taisent que lorsque les chirurgiens ont emporté le corps du supplicié. Comme en France, l'exécution est publique, seulement la potence remplace la guillotine. Mais l'heure est la même. A cinq heures en été,

D'abord les médecins et les chirurgiens n'y pouvaient plus rien, avait dit M. Chillip, et tout ce que les pharmaciens pourraient faire, ce serait de l'empoisonner.

Le père, on l'a su depuis, était un ancien garçon d'amphithéâtre qui avait flairé le désir d'autopsie, s'était caché dans l'ambulance, avait assisté aux allées et venues de son confrère, avait donné le temps aux chirurgiens de commencer, puis avait bondi de son embuscade. Dimanche 30 avril. Thiers et Dufaure, en repoussant la conciliation, sont parfaitement logiques.

Quand l'exécution a eu lieu, si les chirurgiens ont renoncé