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Mis à jour: 6 juillet 2025
Barney n'avait pas été si bien débarbouillé depuis longtemps, et il ne serait pas sorti mieux lavé des mains d'un régiment de barbiers.
Il y avait aussi des barbiers étuvistes, qui formaient sous ce nom une corporation spéciale; elle fut surtout florissante au XVIe siècle.
Povres barbiers, bien estes morfonduz De veoir ainsi gentilshommes tonduz Et porter barbe; or, avisez comment Vous gaignerez; car tout premièrement Tondre et saigner ce sont cas défenduz De testonner on n'en parlera plus: Gardez ciseaux et rasouers esmouluz Car désormais vous fault vivre aultrement, Povres barbiers.
On voit des barbiers, des marchands de légumes, de fruits, de poissons, de macaroni; des cuisines qui, sous la protection d'une Madone, s'installent rapidement et ont toujours une nombreuse clientelle; des toiles ambulantes abritent ces boutiques où sont déposés, sur une couche de plantes marines, des coquillages et des poissons vivants dont les écailles reflètent mille couleurs.
Mon ami, disait ce jardinier avec force signes de croix, c'est une histoire ancienne, que m'a contée un vieux Père chartreux, qui est décédé il y a vingt ans. Dieu lui fasse miséricorde! Le diable, que vous avez vu et que nous pourchassons en vain, n'est pas né d'hier, car il a fait de bons tours, en ce même lieu, sous le règne du bon roi saint Louis, patron de la confrérie des barbiers.
On y passait la journée du samedi, la matinée du dimanche, et en attendant son tour on parlait nouvelles, politique, littérature. «Tout cela est bien changé! s'écrie Restif. A-t-on bien fait de séparer les barbiers des chirurgiens? Est-ce qu'il est bas de raser? Pas plus que de saigner.»
Il était lié d'amitié avec Socrate qui enseignait alors la sagesse dans les boutiques des barbiers. Le fils de Phénarète, qui n'allait guère au théâtre, assistait pourtant
À mesure qu'il se remettait, on voyait que son caractère devait être gai. C'était un de ces barbiers nomades qui courent les rives du Haut-Amazone, allant de village en village, et mettant les Ressources de leur métier au service des nègres, négresses, Indiens, Indiennes, qui les apprécient fort.
Les barbiers de village, au siècle dernier, se faisaient payer en nature, trois oeufs pour une barbe, un fromage pour deux barbes, etc.
Les Français avaient rapporté des guerres d'Italie l'habitude de laisser croître leur barbe. Elle persista sous François Ier, qui avait inauguré la mode des grandes barbes. Il y eut alors plus de chirurgiens que de barbiers, quoiqu'une bien singulière mode fût venue aussi d'Italie en ce temps-l
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