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Mis à jour: 28 octobre 2025


Ce n'était pas «Rachel quand du Seigneur» qui me semblait peu de chose, c'était la puissance de l'imagination humaine, l'illusion sur laquelle reposaient les douleurs de l'amour, que je trouvais grandes. Robert vit que j'avais l'air ému. Je détournai les yeux vers les poiriers et les cerisiers du jardin d'en face pour qu'il crût que c'était leur beauté qui me touchait. Et elle me touchait un peu de la même façon, elle mettait aussi près de moi de ces choses qu'on ne voit pas qu'avec ses yeux, mais qu'on sent dans son coeur. Ces arbustes que j'avais vus dans le jardin, en les prenant pour des dieux étrangers, ne m'étais-je pas trompé comme Madeleine quand, dans un autre jardin, un jour dont l'anniversaire allait bientôt venir, elle vit une forme humaine et «crut que c'était le jardinier»? Gardiens des souvenirs de l'âge d'or, garants de la promesse que la réalité n'est pas ce qu'on croit, que la splendeur de la poésie, que l'éclat merveilleux de l'innocence peuvent y resplendir et pourront être la récompense que nous nous efforcerons de mériter, les grandes créatures blanches merveilleusement penchées au-dessus de l'ombre propice

Mais le temps fuit durant que je vous conte mes imaginations nocturnes. Le temps fuit et, suivant le vol des pétales roses des pêchers, la neige des cerisiers et des abricotiers se disperse déj

Le jardin de la propriété contenait des cerisiers, des pommiers, des groseilliers, beaucoup de fraises et de framboises, des lilas en fleurs; profusion de fleurs des champs, gazouillement continu des oiseaux, tout cela s'harmonisait particulièrement avec mon état d'esprit panthéistique d'alors et ma toquade pour le sujet de Snegourotchka.

Les avenues de cerisiers, les buis séculaires, ces ifs du Nord, ce velours des murs d'enceinte, les larges parterres, les immenses jardins, les pièces d'eau dormante dans leurs bassins de roseaux et de marbre, les fontaines bouillonnantes par la gueule des dauphins moussus sous le hêtre colossal, les longs méandres de charmilles taillées en murailles arrondies en berceaux, les gradins de gazon fuyant en perspective pour conduire le regard jusqu'au coeur des bois, enfin les forêts épaisses et silencieuses qui entourent la demeure, tout donnait au château de mon oncle un caractère de mélancolique grandeur et de sauvage majesté.

Le mai le joli mai en barque sur le Rhin Des dames regardaient du haut de la montagne Vous êtes si jolies mais la barque s'éloigne Qui donc a fait pleurer les saules riverains? Or des vergers fleuris se figeaient en arrière Les pétales tombés des cerisiers de mai Sont les ongles de celle que j'ai tant aimée Les pétales fleuris sont comme ses paupières

Aultre chose est des grosses & vieilles arbres que voulez totallement estroiser/ pour les renouveller comme sont noyers/ meuriers pruniers/ cerisiers/ & aultres/ il les fauldroit esbrancher/ & tout aprés la Toussainctz que les fueilles en sont cheuttes & avant qu'elles ayent recommencé a entrer en seve.

Enfin Xavier et Gertrude restèrent seuls. Ils s'enfuirent au jardin. L'enclos, couronné de grands arbres et bordé de charmilles, était plein de soleil, de bourdonnements d'insectes et de gazouillements de fauvettes. Les poiriers et les cerisiers secouaient en l'air leur blanche floraison, et des papillons couleur de soufre volaient au long des plates-bandes parfumées de giroflées et de lilas. Dans la grande allée, la nourrice promenait l'enfant de Rose Finoël en fredonnant une chanson berceuse, et sa voix claire s'harmonisait avec les épanouissements et les joies du mois de mai. L'enfant tendit les bras vers Gertrude. Xavier le prit dans ses mains, le baisa et, le passant

Ou bien encore il pouvait faire un tour aux jardins des plantes médicinales de Saint-James, ou profiter de la marée basse pour aller par la rivière jusqu'aux vergers de cerisiers de Rotherhithe, ou se rendre en voiture

Notre baiser fut si discret, qu'il n'effaroucha pas les pinsons des cerisiers en fleurs. Au détour d'un chemin, dans un champ, nous vîmes des vieilles femmes courbées, qui cueillaient des violettes qu'elles jetaient dans de grands paniers. J'appelai une de ces femmes. Vous voulez des violettes? me demanda-t-elle. Combien?... une livre?

La cueillette des cerises Espiègle! j'ai bien vu tout ce que vous faisiez, Ce matin, dans le champ planté de cerisiers seule vous étiez, nu-tête, en robe blanche. Caché par le taillis, j'observais. Une branche, Lourde sous les fruits mûrs, vous barrait le chemin Et se trouvait

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descalzas

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