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Mis à jour: 12 juin 2025
Il repassa dans son salon et s'étendit nonchalamment sur une causeuse; mais cinq minutes ne s'étaient pas écoulées qu'un violent coup de sonnette retentit. Ah! ah! voici mes collaborateurs, se dit Lapierre. Et il gagna en toute hâte une petite pièce, située tout
«Arrivé au ciel, il apprit que la femme avait coutume de venir puiser de l'eau auprès d'un arbre, au pied duquel il attendit qu'elle vînt. «Et la voici venir, en effet. Hougoaho cause avec elle et lui fait un présent de graisse d'ours. «Une femme causeuse qui reçoit des présents n'est pas longtemps victorieuse. «Celle-ci fut faible dans le ciel même.
La mère et la fille étaient seules dans leur salon. Mme Véretz brodait au tambour. Mme Corneuil rêvait, enfoncée dans une causeuse; comme elle ne méditait pas, il était permis de parler. «C'est donc demain le grand jour, lui dit sa mère, en levant le nez de dessus de son ouvrage. Que voulez-vous dire?
[Note 18: Pour savoir ce que c'est que Hougoaho, il faut interroger la tradition de la création comme elle s'est transmise chez les Sauvagea du Nord: «Au commencement, disent-ils, il y avait six hommes. Il n'y avait pas alors de femmes et ils craignaient que leur race ne s'éteignît avec eux, lorsqu'ils apprirent qu'il y en avait une au ciel; on tint conseil, il fut convenu que Hougoaho monterait: ce qui parut d'abord impossible. Mais les oiseaux lui prêtèrent le secours de leurs ailes et le portèrent dans les airs. Il apprit que la femme avait coutume de venir puiser de l'eau auprès d'un arbre, au pied duquel il attendit qu'elle vint. Et la voici venir en effet. Hougoaho cause avec elle et lui fait un présent de graisse d'ours. Une femme causeuse qui reçoit des présents n'est pas longtemps victorieuse. Celle-ci, fut faible dans le ciel même. Dieu s'en aperçut et dans sa colère la précipita en bas. Mais une tortue la reçut sur son dos, où la loutre et d'autres poissons apportèrent du limon du fond de la mer et formèrent une petite île qui s'étendit peu
Elles se calmèrent, elles l'entourèrent étroitement sur une causeuse, tandis qu'il leur contait une indigestion de Sylvia, avec laquelle il avait soupé la veille. Puis, tirant un drageoir de la poche de son habit, il leur offrit des pralines. Mais Laure sortit de sa chambre
Et d'un geste rempli d'affabilité elle lui indiqua un fauteuil de soie pourpre brochée d'or, prenant place elle-même sur une causeuse de même étoffe.
Je m'en fais une fête, dit la marquise en s'assujettissant doucement sur sa causeuse, comme quelqu'un qui se met
Accoudée au bras de la causeuse, elle se pencha brusquement vers Pozzo, lui souffla dans le cou, avec des rires aigus, comme prise d'une folie heureuse. Quand elle était très contente, elle avait de ces joies soudaines d'enfant. Pozzo, dont la main semblait s'être endormie sur la guitare, renversa la tête en montrant ses dents de bel Italien, et il frissonnait comme chatouillé par la caresse de ce souffle, tandis que la jeune femme riait plus haut, soufflait plus fort, pour lui faire demander grâce. Puis, après l'avoir querellé en italien, elle ajouta; en se tournant vers Mme Correur: «Il faut qu'il chante, n'est-ce pas?... S'il chante, je ne soufflerai plus, je le laisserai tranquille.... Il a fait une chanson bien jolie.» Alors, ils demandèrent tous la chanson. Pozzo se remit
Les deux jeunes amies entrèrent seules dans la chambre nuptiale. Geneviève se laissa tomber sur une petite causeuse hospitalière tournée vers la porte; elle vit du premier regard deux pastels de La Tour, son bisaïeul et sa bisaïeule, souriants comme s'ils étaient heureux de la voir. «Oh! mon Dieu! dit-elle tout
M. de Ravila! fis-je, avec une voix qui me semblait dire tout, mais tu ne lui parles jamais?» Tu le fuis, j'allais ajouter, car la colère commençait; je la sentais venir... Vous êtes donc bien faux tous les deux? Mais je réprimai cela... Ne fallait-il pas que je susse les détails, un par un, de cette horrible séduction?... Et je les lui demandai avec une douceur dont je crus mourir, quand elle m'ôta de cet étau, de ce supplice, en me disant naïvement: « Mère, c'était un soir. Il était dans le grand fauteuil qui est au coin de la cheminée, en face de la causeuse. Il y resta longtemps, puis il se leva, et moi j'eus le malheur d'aller m'asseoir après lui dans ce fauteuil qu'il avait quitté. Oh! maman!... c'est comme si j'étais tombée dans du feu. je voulais me lever, je ne pus pas... le coeur me manqua! et je sentis... tiens! l
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