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Mis à jour: 6 mai 2025
Ces réflexions nous sont suggérées par le nom même du personnage que nous avons entrepris de faire revivre. En France, qui a jamais entendu parler de don Ferrante Carlo? La Biographie universelle n'en fait pas mention. Ginguené, dans son Histoire littéraire d'Italie, n'en dit pas un mot; l'abbé Lanzi lui-même, dans sa Table si complète des auteurs et écrivains qui se sont occupés des beaux-arts, ne le cite point. Le recueil des Lettere pittoriche de Bottari ne contient de lui qu'une seule lettre adressée
C'est dans cette même lettre, que don Ferrante Carlo apprend
La correspondance de Lanfranc avec don Ferrante Carlo se trouve interrompue du mois d'août 1639 jusqu'au 19 avril 1641. Pendant ces deux années, le peintre fit de fréquents voyages
Le long des petits canaux, la voix d'amour retentissait encore avec son cri sauvage, ou bien, joyeusement, elle saluait la gondole rencontrée, souhaitant la buona notte. Addio, addio, Carlo! répondait-on. Puis, Carlo s'essaya
Oui, et je suis en outre altéré et gelé. Carlo! Monsieur? Va chercher pour M. Kleiner une bavaroise au lait bien chaude. Que dirait-on si, dans un quatuor de Beethoven, par exemple, le premier violon s'avisait de désarticuler ainsi ses phrases, d'en changer la disposition rhythmique et l'accentuation? On dirait que le quatuor est impossible ou absurde, et on aurait raison.
Mon neveu a la berlue, en ce cas! s'écria la tante, qui avait aimé un artiste dans sa jeunesse; il faut être privé de sens pour ne pas voir que c'est le plus bel homme de Paris, du monde entier! Raphaël, Carlo Dolci, Le Poussin, Murillo, n'ont pas, dans tous leurs chefs-d'œuvre, un type comme celui-l
C'est surtout dans les relations que don Ferrante Carlo a entretenues avec Louis Carrache et Lanfranc, qu'éclaté toute la confiance que les peintres les plus éminents de cette époque avaient dans ses lumières et dans sa bienveillance.
Oui, oui, tout est organisé, répondit la comtesse Floche. Carlo nous attend au ponton. Ah! ma chère! Il est sympathique en diable, notre Carlo! Je le regardais encore dans la gondole, ce matin, en vous attendant. Il avait l'air d'un grand singe, hideux, sale, dégoûtant! Je l'adore!
M. Aurelio Berro, ancien ministre de la République de l'Uruguay, m'avait donné des lettres pour M. Enrique Maciel, sous-secrétaire des finances, et pour Carlo de Castro, ministre de l'intérieur.
Cette position, que D.F. Carlo paraît avoir occupée toute sa vie, auprès de deux cardinaux, explique de quelle manière il a pu devenir et, rester pendant plus de quarante années, l'ami des plus illustres artistes de son temps. On sait combien, depuis le commencement du seizième siècle, et surtout depuis les pontificats de Jules II et de Léon X, les membres du sacré collège se montrèrent protecteurs éclairés des arts. Ceux d'entre eux qui appartenaient aux grandes familles italiennes, les Médicis, les Farnèse, les Borghèse, les Barberini, les Ludovisi, les Aldobrandini et tant d'autres, attachèrent une extrême importance
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