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Mis à jour: 8 juin 2025


Pauvres gens! quoique la distance Ne soit pas grande, ils sont bien las; Mais, dans leur rêve d'espérance, Ils ne s'en aperçoivent pas. Oh! comme l'église flamboie! Oh! tant de cierges sur l'autel! Oh! Les beaux cantiques de joie! L'encens fume... Noël! Noël! Le chant, le parfum, la lumière Mettent en leurs coeurs éblouis Une allégresse avant-courrière Des liesses du Paradis.

Mme de Maintenon, sa haute fortune, sa modestie apparente, ses soins pour les jeunes filles de Saint-Cyr transpercent presque sans voile sous ces allusions. Esther appelle ces filles de Sion ses compagnes. Elles chantent devant elle, en strophes mélodieuses et mélancoliques comme les gémissements des harpes juives suspendues aux saules de l'Euphrate, les cantiques de la captivité.

Lorsqu'on revint s'asseoir, Diotime reprit ainsi: Les tableaux qui vont se dérouler dans la seconde partie de Faust répéteront, sous un voile symbolique d'un plus riche tissu et dans des proportions agrandies, les scènes de la première partie. Le parallélisme qui s'établit entre les deux moitiés de la tragédie, n'est guère moins apparent que le parallélisme des trois cantiques.

Depuis le Cantique des Cantiques, l'envahissement des moeurs orientales, grecques et romaines, et l'oppression constante de la nation

Un jour, il imagina de lui chanter des chansons. Elle fut ravie et revint plus souvent; puis, pour utiliser sa voix, elle lui apporta un livre de cantiques. On le vit alors assis dans son lit, car il commençait

O Dieu caché! des âmes virginales, Brûlant de zèle au foyer de l'amour, S'élanceront sur vos traces royales, Et les déserts se peupleront un jour. Ces cœurs ardents, ces âmes séraphiques Réjouiront tous les Anges des cieux, Et l'humble accent de leurs divins cantiques Fera trembler l'abîme ténébreux.

«La poésie mystique de l'Indenous écrit un de ces savants orientalistes qui a percé un des premiers pour l'Allemagne et pour la France les ténèbres de la langue sanscrite (le baron d'Eckstein), «la poésie mystique a pour texte habituel l'amour passionné et extatique de l'âme pour son créateur. Cet amour, le plus éthéré et le plus saint que l'homme puisse sentir, s'y exprime par les images sensuelles du Cantique des cantiques, mais avec une candeur d'expression que l'hébreu lui-même n'atteint pas. On y sent la nudité innocente de l'homme et de la femme dans la pureté sans tache et sans ombre d'un autre

Pendant notre courte absence, il est arrivé ici chaque jour des pèlerinages nouveaux. C'est l'époque de la grande animation de Jérusalem. De tous côtés, les foules accourent et les églises se parent, pour la fête de Pâques qui sera bientôt. Les rues étroites sont encombrées de gens de tous les pays du monde. Il passe des cortèges de pèlerins chantant des cantiques, des cortèges de petits enfants grecs, psalmodiant

Séraphin, elle l'était de visage et d'âme, et l'on peut dire d'elle ce que saint Bonaventure dit de saint François: qu'elle était tout entière un charbon embrasé. «L'amour divin est feu et flamme», nous dit le Cantique des cantiques, et Jésus, l'amour substantiel, déclare qu'il est «venu jeter ce feu sur la terre et qu'il veut qu'il s'allume». Le cœur de sœur Thérèse en est un brandon très ardent, une pure flamme du Paradis dont jamais l'ardeur ne s'est ralentie, et qui a embrasé et embrasera bien d'autres cœurs. Et cela avec quelle force et en même temps quelle douceur! On peut dire d'elle en vérité, avec un petit changement du texte sacré: «Elle nous entraîne et nous courons

N'êtes-vous pas le petit Freccia? Mes ouvrages ont peu de mérite; je sais mieux aimer les arts que je ne sais les exercer. Ma jeunesse tout entière s'est passée dans les églises. Il me semble que je ne puis admirer ailleurs Raphaël et notre divin Buonarotti. Je demeure alors durant des journées devant leurs ouvrages, dans une extase sans égale. Le chant de l'orgue me révèle leur pensée, et me fait pénétrer dans leur âme; je regarde les personnages de leurs tableaux si saintement agenouillés, et j'écoute, comme si les cantiques du choeur sortaient de leurs bouches entr'ouvertes; des bouffées d'encens aromatique passent entre eux et moi dans une vapeur légère; je crois y voir la gloire de l'artiste; c'est aussi une triste et douce fumée, et qui ne serait qu'un parfum stérile, si elle ne montait

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