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Mis à jour: 17 juin 2025


Ma fureur contre le duc de L... ne connaissait pas de bornes, car il nous voyait d'assez près pour avoir pu juger que mon respect pour Mme de Nevers égalait ma passion, et il n'avait pu feindre de me croire son amant que par une méchanceté réfléchie, digne de tous les supplices. Je brûlais du désir de tirer de lui la vengeance qui m'était due, et je jetais sur lui seul la fureur et le désespoir que tant de causes réunies avaient amassés dans mon sein. Je passai la nuit

J'avouerai que c'était bon, mais avec un goût particulier auquel je m'habituai facilement. Ces divers aliments me parurent riches en phosphore, et je pensai qu'ils devaient avoir une origine marine. Le capitaine Nemo me regardait. Je ne lui demandai rien, mais il devina mes pensées, et il répondit de lui-même aux questions que je brûlais de lui adresser.

Je brûlais du désir de voir Venise, j'arrivai la veille de l'Ascension. Quoi qu'il m'eût été dit jusque alors sur l'aspect extraordinaire de cette ville, mes yeux seuls m'en donnèrent la juste idée, et j'avoue qu'il me surprit autant qu'il me charma. À la première vue on croit n'apercevoir qu'une ville submergée; mais bientôt ces superbes palais, bâtis dans le style gothique, dont ces beaux canaux baignent les murs, offrent l'effet le plus grandiose et le plus ravissant par son originalité. J'admirai beaucoup le pont du Rialto qui est d'une seule arche de quatre-vingt-neuf pieds de longueur, et je me souviens qu'en passant dessus, je vis un pauvre homme, bien vieux, raclant sur un mauvais violon, et faisant chanter un petit garçon de cinq ou six ans qui sanglotait. Peut-être ce pauvre enfant mourait-il de faim; aussi je m'empressai de lui donner une petite somme; car sous ce beau ciel et dans cette belle ville, je voulais que tout le monde chantât gaiement. De même, je fus quelque temps sans m'accoutumer

Délivrée du tracas que m'avait donné ce portrait de madame Murat, je repris le train de vie paisible dont j'avais la douce habitude; mais mon goût pour les voyages n'était point encore satisfait: je n'avais point vu la Suisse, et je brûlais du désir d'aller contempler cette belle nature. Je résolus donc de quitter encore une fois Paris, et je partis en 1808, pour aller courir les montagnes. Comme j'adressai dans le temps la relation exacte de ce voyage

Je tremblais en ouvrant ma porte; je me disais que le premier visage que j'apercevrais serait celui de Marie. Je ne pouvais rester tranquille. Les tressauts de mon coeur m'inquiétaient; il me semblait que je me brûlais et consumais sur place et que, lorsque Marie viendrait, il serait trop tard. J'étais tenté par des puérilités superstitieuses de malade: j'attribuais

Je brûlais de la voir cette lettre, et mon envie fut satisfaite: il la tira de son portefeuille, et me la donna. Lisez, mon ami, me dit-il; voyez si je n'ai pas lieu de me flatter d'être aimé. Je la pris, et je la lus avec une émotion excessive.

Pâle, livide, au milieu du salon, il se rongeait les poings avec fureur. Impuissant! Je ne peux... pas... je n'ose pas me venger... Que faire? aller? Si je brûlais Paris... La fille riche, la fille honnête, la fille perdue... je suis chassé de partout! Tiens! j'aurais t'étrangler!... Adieu! sois maudite, toi et les autres!

J'avais entendu dire aussi aux gondoliers du traguet que l'instrument dont elle s'accompagnait était une harpe; mais leurs descriptions étaient si confuses qu'il m'était impossible de me faire une idée nette de cet instrument. Ses accords me ravissaient, et c'est lui que je brûlais du désir de voir. Je m'en faisais un portrait fantastique; car on m'avait dit qu'il était tout d'or pur, plus grand que moi, et mon patron Masino en avait vu un qui était terminé par le buste d'une belle femme qu'on aurait dit prête

Souffrez qu'un inconnu vous rende un hommage qui doit au moins avoir cela de flatteur pour vous, que vous y reconnaîtrez, j'en suis sûr, le langage de la vérité. Jouet d'une basse et odieuse intrigue... (et ici suivent quelques détails particuliers)..., le temps me vengera, me disais-je, c'est inévitable; et je brûlais du désir de voir ce temps s'écouler, et mon âme se livrait

Quand j'étais petite et que je t'entendais parler de la science, il me semblait que tu parlais du bon Dieu, tellement tu brûlais d'espérance et de foi. Rien ne te paraissait plus impossible. Avec la science, on allait pénétrer le secret du monde et réaliser le parfait bonheur de l'humanité.... Selon toi, c'était

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